| | Anciens faits divers | |
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kathy Fouine admin
Nombre de messages : 7467 Age : 45 Localisation : dans l'Essonne Citation : Ne juge pas sur des apparences Date d'inscription : 13/04/2008
| Sujet: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:46 | |
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| | | kathy Fouine admin
Nombre de messages : 7467 Age : 45 Localisation : dans l'Essonne Citation : Ne juge pas sur des apparences Date d'inscription : 13/04/2008
| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:47 | |
| PROJET D'ENLEVEMENT D'ENFANTS SUR INTERNET
Ils avaient l'endroit, un local situé dans l'agglomération de Rouen ; les instruments, un caméscope, des cassettes vierges, un fer pour marquer la peau à vif ; ne leur manquait plus qu'une victime : une petite fille, âgée de 5 à 9 ans, de préférence. C'était sans compter la vigilance des policiers belges et français qui, après un long travail d'enquête en étroite collaboration, ont déjoué leur sordide projet.
Deux hommes ont été interpellés à Rouen et à Nice, en mai, pour avoir préparé l'enlèvement et le viol d'une fillette. Agés d'une cinquantaine d'années, ces deux pères de familles n'étaient pas connus des services de police. Ils ont été écroués et mis en examen pour "participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'enlèvement et de séquestration d'une mineure avec actes de barbarie", a précisé à LCI.fr, le procureur de la République de Rouen, Joseph Schmit.
"Faire des choses horribles"
C'est un membre de Child Focus (centre européen pour enfants disparus et sexuellement exploités), une association mise en place après l'affaire Dutroux, qui a repéré les deux hommes sur un chat fin mars dernier. Alertée, la police belge infiltre la discussion sur le web et se mêle au projet. Il est question d'enlever une petite fille, de lui "faire des choses horribles", selon le magistrat, de la garder un week-end durant, puis de ne la libérer qu'après l'avoir marquée au fer rouge sur l'aine d'un S "comme soumise". Les deux hommes évoquent un rapt qui devrait avoir lieu à la sortie d'une école, dans le nord de la France ou en Belgique. Le mois de juin est décidé. Les départements de la Haute-Normandie, la Seine-Maritime, la Seine-et-Marne et le Nord sont mentionnés. Les autorités belges préviennent leurs collègues français. La SRPJ de Rouen et de Nice, d'où est originaire l'autre homme, commencent leur enquête. Les deux hommes sont surveillés par le biais d'écoutes téléphoniques notamment.
"On n'avait pas assez d'éléments pour faire plus, raconte Joseph Schmit. Nous étions dans le virtuel et la loi ne punit pas l'intention." Vendredi dernier, l'affaire se concrétise. Le Rouannais propose à l'infiltré belge de lui faire visiter le local repéré comme salle de tortures. L'infraction se caractérise, l'homme est interpellé. Son complice avait lui été arrêté le 2 mai alors qu'il s'apprêtait à commettre une agression sexuelle sur une autre enfant. A la fin de l'instruction, les deux hommes devraient comparaître devant le tribunal correctionnel. Ils risquent dix ans de prison. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:48 | |
| ABANDONNES COMME UNE LETTRE A LA POSTE
magasine "infobébés" juin 2007
La ville de Kumamoto, au sud du japon,sera la première du pays à disposer d'une "boîte à bébé". Installée dans le hall d'un hôpital, les parents pourront alors y laisser anonymement leur nouveau-né.Le but du concept, plus connu en Allemagne : limiter les avortements et encourager l'adoption. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:50 | |
| UNE SOEUR ET UN FRERE INCESTUEUX
Un jeune homme de 24 ans rencontre une jeune fille de 16 ans. Tous deux ne se connaissaient pas auparavant car ils avaient été placés. Ils s’aiment et ils ont ensemble 4 enfants. 3 de leurs 4 enfants sont placés à leur tour. Le jeune homme a déjà fait onze mois de prison. POURQUOI, et bien parce qu’ils sont frère et sœur et les « bien-pensants » en les plaçant dans 2 endroits différents ont gâché toute leur jeunesse. Maintenant, ces mêmes « bien-pensants » les accusent d’inceste, mais comment peut-il y avoir inceste entre 2 êtres qui n’ont rien en commun sur leur passé. Est-ce que ces enfants vont être adoptables par des couples homosexuels ?
Cette information grâce aux médias qui aiment le sensationnel. Ça ne se passe pas très long de chez nous : c’est en Allemagne.
Un frère et une sœur incestueux veulent faire changer la loi
(archives, Bild, 2004) Un frère et une sœur condamnés en 2005 par la justice allemande pour "inceste" parce qu'ils ont eu ensemble quatre enfants vont porter l'affaire devant la Cour constitutionnelle afin d'obtenir que les relations sexuelles entre frères et sœurs ne soient plus pénalisées, a annoncé mardi leur avocat.
L'article 173 du Code pénal allemand, qui punit de trois ans de prison maximum les relations sexuelles entre frères et sœurs adultes, est une "atteinte intolérable" au droit fondamental des adultes de choisir librement leurs partenaires sexuels, fait valoir l'avocat du couple, Maître Endrik Wilhelm.
Patrick S., âgé de 28 ans, et Susan K., 21 ans, sont frère et sœur de sang même s'ils ne portent pas le même nom, le garçon ayant été abandonné par sa mère puis adopté. Patrick et Susan ne se sont connus qu'en 2000. Leur premier enfant est né l'année suivante, suivi de trois autres.
Le père a été condamné en novembre 2005 à deux ans et demi de prison pour inceste, tandis que sa sœur et compagne était condamnée pour les mêmes faits, mais dispensée de peine. Lors de leur procès, leurs avocats avaient qualifié de "reliquat de l'histoire" l'article de la loi allemande qui sanctionne l'inceste.
Patrick S. étant depuis sorti de prison, le frère et la sœur habitent actuellement sous le même toit, avec leurs quatre enfants. (belga)
CETTE DERNIERE INFORMATION EST FAUSSE CAR 3 DES ENFANTS SONT PLACES ACTUELLEMENT | |
| | | kathy Fouine admin
Nombre de messages : 7467 Age : 45 Localisation : dans l'Essonne Citation : Ne juge pas sur des apparences Date d'inscription : 13/04/2008
| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:50 | |
| MALTRAITANCES SUR DES ENFANTS HANDICAPES
Des enfants handicapés mentaux tenus en laisse à l'école : Des enseignants font état de cas récurrents de maltraitance, coups et gifles, lire la suite …. Source : un article écrit par Gilbert Dupont
Curieuses méthodes à l'école des Acacias à Anderlecht
ANDERLECHT Des enseignants, dont une à visage découvert, font état de cas récurrents de maltraitance, coups et gifles portés par des collègues à des enfants de 6 à 13 ans fréquentant une école d'enseignement spécial communal à Anderlecht, l'école des Acacias. Au 1 place Séverine, les Acacias accueillent 140 enfants de types 1 et 2, que l'administration appelle débiles légers et débiles profonds. Ce sont des membres de l'équipe pédagogique de cette école qui dénoncent une dizaine de leurs collègues qui auraient pris pour habitude de frapper et gifler des enfants porteurs de handicaps, par essence fragiles et vulnérables. Déjà, une maman dépose plainte et se constitue partie civile pour non-assistance. Fin juin, sept noms d'enseignants ont été communiqués à l'autorité communale. Trois pourraient s'ajouter. Deux ont été entendus comme témoins. L'échevin, M. Fabrice Cumps, parle d'atmosphère plombée. Quant à celle qui dénonce, elle paie déjà les pots cassés. Mme Isabelle, 31 ans, a appris qu'elle serait déplacée dès la rentrée, ce qu'elle considère comme une sanction déguisée. La direction, enfin, écrivait déjà le 21 mai dernier : "Si jamais la presse était informée, il est interdit que ces journalistes pénètrent dans l'enceinte de l'école. Si vous (enseignants) êtes interpellés chez vous ou en dehors de l'école, ne pas répondre et les renvoyer vers le PO. Ce sera également mon attitude". Des enseignants rapportent qu'il y a cinq ou six ans, il était de pratique à l'école des Acacias, de maintenir les enfants turbulents en les attachant à des laisses de chien. C'est fini. Ces dernières années, la prof de morale, bien que toujours en activité, a abandonné le procédé et définitivement rangé les laisses à chiens. "C'est tous les jours que des enfants sont frappés ou prennent une gifle pour un oui ou un non. On répète dix fois au même de ne pas toucher à la sonnette. Avec certains enseignants, souvent les mêmes, c'est sûr qu'à la onzième, le petit se prendra une gifle. Ce n'est pas admissible. Nous sommes plusieurs à l'école à ne plus pouvoir accepter ce comportement de la part de nos collègues". L'an passé, des enfants en détresse affective furent victimes d'un harcèlement moral proche du sadisme. C'est le cas d'une petite fille de 10 ans, J., tourmentée par des adultes qui la savaient littéralement terrorisée à l'idée de passer l'année prochaine en internat. Un lundi du mois de juin, un enfant autiste africain en difficulté d'intégration, arrivé à l'essai le jeudi précédent, était frappé violemment par sa titulaire qui demandait à sa collègue d'en faire autant. Des témoins ont vu. La collègue, une puéricultrice, a refusé de frapper l'enfant. En mai, une petite fille de 7 ans a été oubliée dans les toilettes pendant une demi-heure. Les enfants les plus lents terminent leur repas chaud de midi qu'ils mangent à terre à la cour de récré. Un procédé fréquent aux Acacias consisterait à secouer les enfants jusqu'aux larmes. On s'indigne d'apprendre qu'un enfant court les pieds nus sous la pluie ou, par temps de canicule, sur le sol brûlant de la cour de récréation. Il y a eu du racket entre enfants. Une plainte a été déposée après qu'un autre ait peut-être été victime d'abus sexuel. Dans son cas, ce n'est pas le viol lui-même mais l'attitude de la direction qui a poussé sa maman à porter l'affaire chez un juge. La police locale mène l'enquête. Le parquet est informé (BR.37L3017103/07). À l'époque pas si lointain des laisses de chien, un procédé consistait à maintenir sous la douche l'enfant qui pleurait trop le jour de la rentrée. Des enseignants dénoncent. Pas tous. L'échevin n'est pas resté sans réagir. Au contraire, Fabrice Cumps a diligenté plusieurs enquêtes et rencontré le plus grand monde. Rien à ce stade ne lui a prouvé que les méthodes suivies aux Acacias n'étaient pas conformes à la déontologie, dit-il hier, néanmoins perplexe. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:51 | |
| INFANTICIDE ET SUICIDE DE LA MAMAN
Une jeune mère de famille s'est suicidée samedi matin en se jetant sur les voies de la gare de Noisy-Champs en Seine-et-Marne après avoir très vraisemblablement tué ses deux enfants de 18 mois et 4 ans dont les corps poignardés ont été retrouvés peu de temps après à son domicile. Les premiers éléments de l'enquête "laissent penser que c'est elle l'auteur du drame", a expliqué le parquet de Meaux à l'AFP. La jeune femme, âgée de 28 ans, s'est jetée à 10H55 sur les voies de chemin de fer à l'arrivée d'un train en gare de Noisy-Champs. Grâce à des papiers d'identité qu'elle portait sur elle, les enquêteurs ont localisé son domicile situé à Champs-sur-Marne, à proximité de la gare qui dessert également la commune de Noisy-le-Grand (Seine-Saint-Denis). Ils ont alors découvert dans son appartement les corps sans vie des deux enfants ainsi que l'arme de ce très probable infanticide, selon cette même source. Des traces d'une quinzaine de coups de couteau ont été retrouvés sur chaque enfant. "Pour l'instant, on essaie de recomposer l'histoire de cette jeune femme pour en savoir un peu plus sur sa vie afin de comprendre le motif de cet acte", a indiqué le parquet. La jeune femme était secrétaire médicale à l'hôpital Lariboisière à Paris, menait "une vie normale, était bien insérée" et "n'avait pas de difficultés particulières". Son compagnon dont elle était séparée depuis le mois de février a été contacté mais n'a pas pu être joint par les enquêteurs, a précisé la même source judiciaire. Quant aux parents de la jeune femme arrivés sur les lieux après la découverte de la tragédie, "ils seront entendus dès que possible" lorsque leur état de santé le permettra car "ils sont sous le choc", a ajouté le parquet. Les enquêteurs ont commencé samedi à procéder aux premières auditions du voisinage en attendant celles des collègues de travail dans les prochains jours afin de mieux cerner le profil de cette femme. Des tests toxicologiques devaient être pratiqués samedi soir afin de déterminer si les enfants ont été drogués avant d'être tués. Une autopsie complète des corps sera également faite lundi matin. Le parquet de Meaux a indiqué qu'une fois tous les éléments d'enquête réunis, il étudiera la possibilité d'ouvrir une information judiciaire. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:52 | |
| 18 ANS APRES, LE VIOLEUR EST ARRETE
Dix-huit ans après le viol d'une petite fille de 11 ans, à Bourg-en-Bresse (Ain), Bruno Favre, l'agresseur présumé, vient d'être trahi par son ADN. Ce père de famille âgé de 45 ans possède un profil qui affole les enquêteurs.
Depuis le 1er juillet, Bruno Favre, 45 ans, dort en prison. Cet homme en apparence au-dessus de tout soupçon a été mis en examen début juillet pour le viol d'une fillette de 11 ans commis en 1989 à Bourg-en-Bresse (Ain). Trahi par son ADN dix-huit ans après les faits, l'homme sera entendu aujourd'hui par le juge d'instruction.
Un viol sordide. Le 30 septembre 1989, Ludivine*, 11 ans, quitte le domicile familial de Bourg-en-Bresse pour aller chercher son frère et sa soeur à l'école. Sur la route, elle est abordée par un automobiliste. La petite est méfiante, mais l'homme parvient à l'emmener de force. Dans un bois, il la viole avant de la ramener à l'endroit où il l'a enlevée. La fillette est en sang et porte des traces de strangulation. Malgré les recherches des gendarmes et le fait que la police scientifique a relevé l'empreinte génétique de l'agresseur, l'enquête n'aboutit pas. En 1994, le dossier est clos une première fois.
L'ADN fiché. En 1997, Ludivine croit reconnaître son bourreau dans la rue. Le parquet décide de rouvrir l'enquête. Mais le suspect est rapidement mis hors de cause : son ADN ne correspond pas avec celui du sperme retrouvé sur les vêtements de l'enfant. En 1999, les investigations cessent à nouveau. Mais le parquet n'abandonne pas, et décide d'ouvrir une troisième fois ce dossier qui a suscité un émoi considérable dans la ville. En 2004, le profil génétique du violeur est inscrit au Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG). « Cette étape s'est révélée déterminante », relate Jean-Paul Gandolière, l'actuel procureur de Bourg-en-Bresse. Les mois passent, mais l'ADN, désormais le seul espoir de voir l'enquête aboutir, ne « parle pas ». Jusqu'au printemps 2007. « On a été avisé mi-juin qu'un rapprochement avait été effectué. On a interpellé le suspect deux semaines plus tard, après avoir vérifié que le résultat n'était pas contestable.
Le réveil du passé. Pour la victime, cette interpellation est un choc. « Ludivine est heureuse, mais elle est aussi bouleversée, confie son avocate Me Agnès Bloise. Cela réveille le passé. Même si elle est devenue une très jolie jeune femme extravertie, elle a dû suivre une psychothérapie très lourde. » Tant d'années plus tard, Ludivine reconnaît son agresseur sur photos. « Je n'aurais jamais pu oublier ce regard-là », lâche la jeune femme. Après avoir nié les faits, Bruno Favre les reconnaît partiellement au cours de sa garde à vue. « Il est complètement sonné », commente son avocat, Me Patrick Uzan. « Il a conscience que ce qu'il a fait est très grave, il n'est plus le même homme aujourd'hui. »
Une bagarre de voisinage. Au moment de son interpellation, Bruno Favre mène une existence paisible avec sa concubine et ses deux filles dans le village de Port-Lesney. Sa seule erreur aura été de s'en prendre à son voisin en 2005. Condamné pour « violence volontaire » en première instance et en appel en 2006 à la suite d'une bagarre de voisinage, il fait l'objet d'une inscrïption au FNAEG. Depuis une loi de 2003, les auteurs de ce type de faits sont en effet susceptibles d'être fichés. Le rapprochement entre les deux traces ADN devenait alors inévitable.
En cavale. Quand ils s'intéressent au parcours de leur suspect, les enquêteurs font une étonnante découverte. Le 15 juin 1987, Bruno Favre a été condamné à six ans de prison par la cour d'assises de Genève (Suisse) pour des attentats à la pudeur sur mineurs commis en 1986. Poursuivi pour 16 cas, il est reconnu coupable de 11 agressions sur des enfants de 6 à 14 ans. Le 9 septembre 1988, alors qu'il a déjà effectué près de trois ans de prison, il bénéficie d'une permission de sortie. Mais il ne réintègre pas sa cellule. Bruno Favre est alors un fugitif, mais, curieusement, les autorités helvétiques ne lancent aucune recherche.
Un profil inquiétant. Le profil de récidiviste de Bruno Favre met aujourd'hui en émoi la justice. « Il commet le viol de Bourg-en-Bresse, alors qu'il a déjà agressé des mineurs et qu'il est en cavale. Malgré cela, il n'hésite pas à passer à l'acte à nouveau. Cela traduit chez lui un sentiment de surpuissance et d'impunité. C'est le profil d'un homme qui pourrait avoir fait d'autres victimes », avance une source proche du dossier. Le passé du suspect est passé au crible depuis un mois. Les enquêteurs ne sont peut-être pas au bout de leurs découvertes. * Le prénom a été modifié. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:52 | |
| IL TORTURE SON FILS DE 3 ANS
Encore une horreur commise par un récidiviste !!! Un homme écroué pour actes de torture et de barbarie sur son fils de 3 ans Source
Un jeune homme âgé de 23 ans a été mis en examen et écroué samedi à Lille pour avoir violemment battu, notamment avec une spatule en bois et un câble électrique, son fils de trois ans, a-t-on appris jeudi de source judiciaire. La mère de l'enfant, âgée de 20 ans, avait donné l'alerte le jeudi précédent en se rendant au commissariat avec son enfant couvert d'ecchymoses, a-t-on précisé au parquet de Lille.
La veille au soir, le père de l'enfant, connu pour être un consommateur d'héroïne, avait violemment battu son fils, notamment en lui brisant une spatule sur les fesses en le frappant avec, en lui portant une cinquantaine de coups avec un câble électrique, ou en le brûlant avec une cigarette. Il l'aurait également suspendu par les pieds au-dessus de l'escalier et lui aurait plongé la tête dans une baignoire d'eau froide à plusieurs reprises. Brièvement hospitalisé et ne souffrant d'aucune fracture, l'enfant a été placé mercredi dans un foyer à sa sortie de l'hôpital.
Le père, mis en examen pour actes de torture et de barbarie, a été condamné en 2003 par la cour d'assises des mineurs de Douai pour coups mortels à cinq ans de prison dont deux avec sursis pour des faits remontant à 1997, alors qu'il avait 14 ans. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:54 | |
| IL TORTURE SA COUSINE DE 2 ANS 1/2
A 16 ans, il torture sa cousine de 2 ans jusqu'à la mort : la fillette était en vacances chez sa tante!
Une fillette de deux ans et demi, qui était en vacances chez sa tante, est décédée des suites de blessures que lui aurait infligé son cousin de 16 ans. Elle aurait été rouée de coups de pieds et poings, secouée et brûlée avec des cigarettes par son cousin, qui l'aurait prise comme souffre-douleur.
Cela a probablement duré plusieurs jours. Des coups de pieds, de poings, des brûlures de cigarettes. La fillette de deux ans et demi à laquelle son cousin de 16 ans infligeait ces souffrances est morte le 10 juillet des suites de ses blessures. L'affaire se passe à Garnat-sur-Engièvre, dans l'Allier. La fillette était en vacances chez sa tante depuis la fin du mois de juin.
Tombée dans le coma le 7 juillet, elle n'a été emmenée à l'hôpital de Moulins-Yzeure par sa tante que le lendemain. Transférée à l'hôpital de Clermont-Ferrand, elle est décédée de ses blessures deux jours plus tard. Une information judiciaire pour violences ayant entraîné la mort a été ouverte par le parquet de Moulins, qui a confié l'enquête à la brigade de recherches de la gendarmerie.
L'adolescent a été placé en détention provisoire.
La tante de la fillette a été mise en examen et écrouée pour non assistance à personne en danger et non dénonciation de crime. Le concubin de cette dernière a été placé sous contrôle judiciaire | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:55 | |
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| | | kathy Fouine admin
Nombre de messages : 7467 Age : 45 Localisation : dans l'Essonne Citation : Ne juge pas sur des apparences Date d'inscription : 13/04/2008
| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:55 | |
| MALTRAITANCE DURANT 28 ANS
La belle-mère de (L Gouardo, violée et maltraitée par son père durant 28 ans), a été condamnée hier à du sursis par le tribunal correctionnel de Meaux pour « non empêchement de crime », la victime veut faire appel et poursuivre l'Etat. Source
La belle-mère de Lydia Gouardo, une femme violée et maltraitée par son père 28 années durant, a été condamnée hier à du sursis par le tribunal correctionnel de Meaux pour « non empêchement de crime », à la grande déception de la victime qui veut faire appel et poursuivre l'Etat. Lydia Gouardo, 44 ans, a subi des viols, séquestrations et actes de barbarie de la part de son père légitime (mais pas génétique) de 1971 à 1999, date du décès de Raymond Gouardo, qui l'avait reconnue comme sa fille. Six enfants en sont nés entre 1982 et 1993, sans que les services sociaux ni la justice ne se porte à son secours. Lucienne Ulpat, qui selon l'accusation a assisté à ces crimes sans rien dire, ce qu'elle a nié, n'était jugée que pour la période courant du 10 août 1998 au 19 novembre 1999, les faits concernant la période antérieure étant prescrits. Mme Ulpat, qui ne s'est pas présentée au tribunal pour le délibéré, a été condamnée à trois ans de prison avec sursis, et à verser 15.000 euros de dommage et intérêt à sa belle-fille, plus 3.000 euros de frais d'avocat. Lydia veut faire appel Au prononcé du jugement, Lydia Gouardo n'a pu s'empêcher de s'exclamer : « Elle aurait au moins pu passer cinq jours en prison, après tout le temps que j'ai passé enfermée ! » « Nous sommes déçus et outrés », a affirmé le compagnon de Lydia Gouardo, Sylvain Skirlo. Il a annoncé que sa compagne ferait certainement appel, et qu'elle avait l'intention de poursuivre l'Etat : « Si les institutions socio-judiciaires avaient fait leur travail, le calvaire de Lydia aurait pu prendre fin quand elle avait 12 ans ». Ni l'Education nationale (elle n'était pas scolarisée), ni le service d'action éducatif de Meaux qui l'a suivie de ses dix à dix-huit ans, ni les gendarmes de la brigade de Crécy-la-Chapelle, à qui une enquête a été confiée en 1996, ni les médecins qui ont eu à examiner les brûlures à l'acide chlorhydrique infligées par son père, ne sont venus au secours de Lydia Gouardo. Celle-ci raconte même qu'elle a été plusieurs fois placée en foyer à Melun après des fugues, et que son père l'en retirait systématiquement.
Me Christine Balducci-Guérin, son avocate, a confirmé qu'elle allait « certainement » engager une procédure en responsabilité contre l'Etat. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:56 | |
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| | | kathy Fouine admin
Nombre de messages : 7467 Age : 45 Localisation : dans l'Essonne Citation : Ne juge pas sur des apparences Date d'inscription : 13/04/2008
| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:57 | |
| IVAN
La responsabilité de l'Etat "au coeur" du drame, selon les avocats de la famille d'Ivan
Les avocats de la famille d'Ivan, l'enfant russe blessé après une chute lors d'une tentative d'interpellation le 9 août à Amiens, ont demandé mardi à l'Etat de "reconnaître sa responsabilité" dans cette affaire et réclamé l'ouverture d'une information judiciaire. "La responsabilité de l'Etat est au coeur de ce drame. Nous demandons à l'Etat de reconnaître sa responsabilité", a déclaré Me Francis Lec lors d'une conférence de presse avec Me Jacques Vergès à Amiens, en présence du père et de la mère d'Ivan. "Nous voulons l'ouverture d'une information judiciaire confiée à un juge indépendant", a ajouté Me Lec, alors que seule l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a pour l'instant été chargée d'une enquête par le parquet d'Amiens. "L'enquête de l'IGPN n'est pas suffisante", a jugé l'avocat. Ivan, 12 ans, a été grièvement blessé le 9 août en chutant accidentellement du 4e étage de son immeuble à Amiens lors d'une tentative d'interpellation de ses parents en situation irrégulière. Hospitalisé au CHU d'Amiens, son état de santé "évolue favorablement" et il sort progressivement du coma dans lequel il se trouvait depuis l'accident, a indiqué l'hôpital dimanche. "Il est sorti de l'état critique", a affirmé mardi le père d'Ivan, Andreï Dembski, interrogé par l'AFP. L'intervention des policiers vers 08H00 au domicile des parents avait "une allure d'opération commando. Ils ont tambouriné à la porte pendant près d'une heure", a dénoncé Me Lec. "Quelle était la nécessité de venir en commando de 15 personnes? Est-ce un procédé normal?", a lancé Me Vergès, en insistant sur le fait qu'Ivan était "un excellent élève désireux d'intégrer la société française" et que ses parents n'étaient pas "des gangsters". Les avocats réclament qu'Ivan et ses parents puissent rester en France jusqu'à ce que l'enfant n'ait plus de séquelles de son accident. Samedi, le ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale, Brice Hortefeux, a accordé aux parents d'Ivan "une autorisation provisoire de séjour" de six mois. "Ivan a chuté d'une hauteur de 14 mètres. Dans 6 mois il supportera encore les séquelles de cette chute. Il faut qu'il reste en France pour le moins jusqu'à sa guérison complète", a déclaré Me Lec, en ajoutant que l'Etat devait prendre en charge le séjour de la famille. Didier Cottrelle, du Réseau Education sans frontière (RESF), qui participait à un rassemblement d'une vingtaine de personnes devant le bureau de Me Lec, a réclamé "la régularisation définitive" de la famille. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:58 | |
| UNE JOGGEUSE RETROUVEE MORTELa victime était partie faire du jogging avec son chien, sur un sentier très fréquenté de Schweighouse-sur-Moder, au nord de Strasbourg. Une femme de 49 ans a été retrouvée morte vendredi par un promeneur : son corps, qui gisait sous les pins, était couvert d'ecchymoses. Sa tenue de sport a été également été retrouvée non loin de là. Les gendarmes privilégient dimanche la thèse de l'agression et ont lancé samedi un appel à témoin auprès des personnes ayant fréquenté le secteur entre 10h et 16h vendredi. L'autopsie qui doit déterminer les causes exactes du décès aura lieu lundi. La section de recherche de la gendarmerie de Strasbourg est chargée de l'enquête. - Citation :
- c'est à côté de chez moi ... en moins de 30 minutes ... donne envie, tiens !
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| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 8:59 | |
| TROIS CORPS DE NOUVEAUX NES RETROUVES A ALBERTVILLE
Les policiers ont découvert mercredi à Albertville, en Savoie, les corps de trois nouveaux nés. Nés en 2001, 2003 et 2006, ils ont été découverts dans des sacs en plastique dans une malle et dans une caisse, où était entreposé un sapin de Noël en matière synthétique. La mère âgée de 36 ans, qui travaillait régulièrement comme intérimaire, a reconnu qu'il s'agissait de ses enfants, qu'elle avait accouché seule et que son compagnon n'était pas au courant.
Selon le procureur de la République d'Albertville, Henry-Michel Perret, "on ignore si cette femme a tué volontairement ses nouveaux-nés ou si elle les a laissé mourir". "Elle a expliqué qu'elle ne voulait pas assumer ses grossesses et comme elle ne prenait pas de poids quand elle était enceinte, ni sa famille ni son compagnon ne se sont aperçus de rien", a ajouté le procureur.
Au congélateur
Dans un premier temps, les corps des bébés avaient été placés au congélateur, puis lorsque le père restait seul à la maison et était susceptible d'ouvrir l'appareil, la mère dissimulait les cadavres dans d'autres endroits, avant de les recongeler. Elle les a même transportés lors du déménagement dans un nouveau logement du couple, il y a un an.
Pendant l'absence de sa compagne, l'homme a ouvert une malle entreposée dans un sous-sol et a découvert les corps en état de décomposition de deux bébés. On ignore dans quelles conditions le troisième nouveau-né a été découvert. L'homme a aussitôt alerté la police. Lorsque la femme est rentrée chez elle, elle a expliqué sans difficulté qu'il s'agissait bien de ses enfants et qu'elle n'avait pas voulu les garder. L'enquête a été confiée à la police judiciaire de Lyon. Une information judiciaire devrait être ouverte d'ici vendredi. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:00 | |
| UN GARCON DE 10 ANS CONTRAINT DE BOIRE DE L'URINE PAR 3 ENFANTS
Un garçon de dix ans a été contraint par trois enfants de son âge de boire de l'urine sous la menace d'un canif, dans un quartier de la périphérie strasbourgeoise, a-t-on appris samedi de source policière. Deux frères de dix et huit ans, et une fillette de dix ans avaient encerclé le gamin et pointé un canif sur sa nuque mercredi soir dans le quartier de Hautepierre. La victime a été forcée de boire une bouteille contenant 30 cl d'urine. Le trio, exprimant peu de repentir, a ensuite été interpellé par la police et emmené à la brigade des mineurs de la Sûreté où les parents ont également été convoqués, selon la même source. Le dossier a été transmis au parquet des mineurs. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:01 | |
| EN ALLEMAGNE
Justice : Allemagne : Allemagne: acquittement général dans l'affaire du petit Pascal, violé et étouffé
Allemagne: acquittement général dans l'affaire du petit Pascal, violé et étouffé
Sat, 8 Sep 2007 SARREBRUCK (AFP) — Le tribunal de grande instance de Sarrebrück (sud-ouest de l'Allemagne) a acquitté vendredi au bénéfice du doute huit hommes et quatre femmes accusés d'avoir violé puis étouffé un garçonnet allemand de cinq ans dans un café en septembre 2001.
Au terme d'un procès-fleuve qui a mobilisé trois ans durant cinq juges et 18 avocats, le tribunal a estimé ne pas disposer de preuves suffisantes pour affirmer que le petit Pascal avait été violé par plusieurs prévenus, puis étouffé avec un oreiller dans l'arrière-salle de la "Tosa Klause", boui-boui d'un quartier interlope de la capitale sarroise.
Le parquet a immédiatement indiqué qu'il ferait appel de ce jugement en se disant "convaincu" de la culpabilité des prévenus.
"Il est très probable que les faits se sont déroulés comme ils ont été reconstitués par la police lors de l'instruction", a déclaré le président Ulrich Chuboda. "Mais en l'absence de cadavre et d'éléments matériels, le doute doit profiter aux accusés", a poursuivi, le visage fermé, le magistrat.
A ce jour, le corps de la victime n'a pas été retrouvé malgré d'intenses recherches, notamment dans le département français limitrophe de la Moselle où il aurait été jeté dans une gravière.
"Dès lors, le tribunal ne peut que conclure que Pascal a disparu sans laisser de trace", a poursuivi le président Chuboda, rappelant que le Code pénal allemand impose au juge de former son opinion en fonction des preuves qui lui sont rapportées et non à partir de son intime conviction.
Dans son réquisitoire prononcé fin août, le procureur Josef Pattar avait admis le manque de preuves formelles --sang et/ou traces de sperme-- mais il avait néanmoins demandé la perpétuité pour cinq des prévenus, dont la tenancière du bistrot, dans cette sordide affaire de pédophilie.
Les douze accusés ont reçu le jugement dans une totale indifférence, ne laissant apparaître aucune émotion lorsque leur acquittement a été prononcé.
Âgés de 65 à 39 ans, pour la plupart sans antécédents judiciaires, ils se connaissent tous, habitués de la "Tosa Klause". Le Land (Etat régional) de Sarre devra maintenant les indemniser pour leur détention provisoire qui, pour certains, a duré plusieurs années.
"Cet acquittement constitue un jour noir pour les enfants victimes de sévices", a estimé l'association berlinoise Kinderhilfe ("Aide aux enfants") dans un communiqué. "Il faudra en tirer toutes les conséquences, notre système judiciaire ne prenant pas en compte les droits des enfants, victimes ou témoins, dans les procès criminels", a poursuivi l'association.
"Ce jugement est à vomir", a renchéri Heiko Maas, l'un des responsables sarrois du Parti social-démocrate (SPD).
"C'est un fiasco!", a pour sa part laissé tomber un parquetier dans les couloirs de palais du justice où se pressaient public et journalistes. "L'Allemagne a désormais son Outreau", a ajouté le chroniqueur judiciaire d'un journal de Francfort (centre), également scandalisé par le jugement.
En 2005, treize personnes accusées de pédophilie avaient été acquittées par un tribunal d'Outreau (France) dans un procès qui avait viré au fiasco judiciaire, contraignant le gouvernement français à réformer sa justice. Dans le cas d'Outreau cependant, les accusés avaient été innocentés après avoir été condamnés à tort.
L'un des acquittés de Sarrebrück, Michael C., qui comparaissait pour meurtre, a estimé "incroyable" que le tribunal puisse encore avoir des doutes sur son innocence. Selon lui, "il est évident que les policiers ont exercé des pressions" sur les accusés. "Il faut comprendre ce que nous avons enduré et ce que nous continuons à subir", a-t-il déclaré à l'AFP.
Samedi 08 Septembre 2007 | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:01 | |
| QUAND DERRIERE L'HUMANITAIRE SE CACHE LA PEDOPHILIE Yves Marguerat est jugé pour le viol de deux enfants togolais Le procès d’Yves Marguerat, un Français qui a vécu plus de 20 ans au Togo, se déroule cette semaine à Nanterre, en France. L’homme de 64 ans est accusé d’avoir violé 2 enfants entre 1991 et 1994. Il risque vingt ans de prison. QUAND ON LIT LES PROPOS DE CE MONSTRE, CA DONNE ENVIE DE GERBER : « Je reconnais avoir enfreint la loi en commettant des attouchements sexuels sur des jeunes, parfois mineurs, avec un nombre (de garçons) absolument impossible à chiffrer et avec la certitude de n’avoir pas fait de mal volontairement », a déclaré Yves Marguerat, 64 ans, accusé du viol de deux enfants togolais entre 1991 et 1994. Le procès de ce chercheur, agrégé de philosophie, présumé coupable d’avoir abusé d’enfants des rues de Lomé, s’est ouvert mardi à Nanterre (Hauts de Seine). Bien qu’il reconnaisse les attouchements, l’accusé ne semble pas avoir conscience des crimes commis. A l’écouter, il aurait rendu service à ces jeunes enfants. Lors du premier jour d’audience, il a reconnu avoir commis des attouchements mais réfute avoir violé ses victimes. Le chercheur a avoué avoir commis des attouchements sur de nombreux enfants dans sa maison de Lomé, que l’ancien consul de France, présent au procès en qualité de témoin, a qualifié de « harem ». Les propos du présumé violeur sont confus, et il est difficile d’adhérer à sa version des faits. Questionné sur l’âge de ses victimes par la présidente de la Cour, Sabine Foulon, M. Marguerat a admis que le plus jeune, René, « avait 11 ans, c’était le seul petit ». Auparavant, il avait affirmé qu’ « esthétiquement, il aimait les jeunes hommes, les petits non ». « Ces deux viols, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg » « J’ai cru respecter leur liberté, peut-être je me suis trompé » a déclaré le chercheur. Selon les deux victimes présumées, c’est la « terreur » plus qu’un sentiment de liberté qui régnait dans la maison du scientifique. « Il affirme que les enfants étaient consentants, mais ce qu’il faut savoir c’est qu’il leur remettait de l’argent et assurait leur survie en les hébergeant et en les nourrissant. Certes, il n’a pas usé de violence physique, mais la contrainte morale était terrible, abominable », a expliqué Maître Picquet, avocat de l’une des deux victimes, aujourd’hui âgé de 30 ans. Ce dernier a relaté en détails comment Yves Marguerat l’a violé en 1992, dans son bureau, après lui avoir promis de l’adopter et de l’envoyer faire des études en France. Et maître Picquet d’ajouter que « ces deux viols, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg. Sa maison était un véritable capharnaüm, avec des passages incessants ». Yves Marguerat, employé pour un organisme public français, l’Orstom de 1978 à 1994, agissait sous couvert d’activités humanitaires qu’il faisait financer par des associations comme la fondation Raoul Follereau. Dès 1982, le chercheur fonde un foyer pour les enfants des rues qui étaient en « détresse affective », affirme-t-il, et tellement nombreux. Durant l’instruction, le Français a déclaré que les enfants l’accompagnaient sous la douche et voulaient dormir avec lui, au point qu’il leur donnait un tour. « J’étais une ONG à moi tout seul », a-t-il ajouté. Une ONG qui venait en « aide » uniquement aux petits garçons, car les fillettes se prostituaient pour subvenir à leurs besoins et n’avait pas besoin d’aide, selon ses explications. Un spécialiste de l’action humanitaire En parallèle des subventions de la fondation Raoul Follereau, qui se sont élevés à 209 000 euros entre 1996 et 2002, il avait aussi créé en France un comité de soutien aux enfants de Lomé à la paroisse de Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine). Pas moins de 800 000 euros ont été versés par les paroissiens entre 1982 et 2005, dont la moitié est allée directement dans la poche du bourreau. Un comité d’aide et d’information pour le monde des enfants de la rue (Aimer) lui a aussi versé 48 088 euros entre 1994 et 2003. Marguerat, qui n’a pas fait acte de repentance, est resté très serein durant l’audience. « Est-ce que l’action humanitaire n’a pas été faite ? », voilà la réponse que Marguerat a donné mardi lorsque la Cour lui a demandé s’il n’avait pas l’impression d’avoir abusé des œuvres charitables qui le subventionnait… Cette affaire de pédophilie en rappelle une autre. Celle du Père Lefort, condamné en juin 2005 à huit ans de prison pour avoir violé six mineurs au Sénégal. Il y a deux ans, Yves Marguerat, proche du religieux, témoignait en sa faveur et affirmait que « si l’enfant accepte de l’argent parce qu’il a faim, ce n’est pas un viol ». | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:03 | |
| DISPARITION DE CEDRIKA PROVENCHERPlus de 50 jours se sont écoulés depuis la disparition de Cédrika Provencher. Malgré ce fait, le support de la population ainsi que l'aide qu'elle apporte pour les recherches ne semblent pas vouloir s'atténuer. «Nous ne ressentons pas d'essoufflement du côté du public, au contraire. Sur le terrain, nous remarquons que la population ne fait preuve d'aucun relâchement et l'aide que nous recevons fuse de toute part afin de garder la visibilité de Cédrika bien vivante. La présence de Martin à l'émission Tout le monde en parle a fait doubler et même tripler les informations que nous recevons. De plus, dans les courriels, une personne nous a offert un avion pour effectuer nos déplacements advenant le cas où nous devions vérifier une information rapidement et sur une grande distance», informe Henri Provencher, le grand-père de Cédrika. Au moment de notre entretien, une compagnie de télécopieur appelait afin d'offrir gracieusement un appareil à la famille. Un soutien de tous les instants Selon M. Provencher, six à huit personnes sont présentes jour après jour dans le local de la famille afin de récolter les différentes données. «Nous recevons toujours des éléments nouveaux alors ça nous permet de garder espoir. Nous avons vu le reportage de J.E. qui se penchait sur les affiches des personnes disparues et les portraits-robots, mais nous pensons que Cédrika est au-delà de tout ça. À ce point-ci et depuis le temps que sa photo circule, elle est une image mentale pour toute la population», insiste-t-il. Par une foule de petits gestes, l'image de Cédrika sera encore véhiculée. Des ententes avec la Ligue de hockey junior majeur du Québec et le Centre Bell sont sur le point d'être conclues. De plus, une compagnie beauceronne a conçu une affiche montrant Cédrika sous différents points de vue, avec les cheveux courts ou blonds ou avec des lunettes. lien : http://www.lechodemaskinonge.com/article-141459-Les-proches-de-Cedrika-ne-baissent-pas-les-bras.html | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:05 | |
| UN PERE ECROUE POUR VIOL ENTRE 1998 ET 2007
" L'homme, un ressortissant finlandais résidant à Paris, aurait violé sa fille de 1998 à 2007. Il l'a, par ailleurs, enlevée et séquestrée avec l'aide de son fils et de son frère.
Un père de famille de 45 ans a été mis en examen à Créteil pour viols et agressions sexuelles sur sa fille de 20 ans, ainsi que pour enlèvement et séquestration et écroué mardi soir, a-t-on appris, mercredi 22 août, de source judiciaire. Le père de famille, un ressortissant finlandais d'origine algérienne et résidant à Paris, avait enlevé vendredi soir, accompagné de son fils, également de nationalité finlandaise, et d'un de ses frères, sa fille à Maisons-Alfort (Val-de-Marne), où elle résidait chez son petit ami. L'alerte avait été donnée par un témoin. Finalement, la jeune femme avait été retrouvée samedi vers 18h00, "fortement stressée mais pas blessée", au domicile de sa grand-mère dans le XVIIIe arrondissement de Paris, où elle était séquestrée par ses trois ravisseurs.
Violée de 1998 à 2007
Au cours de son audition, la jeune fille a déclaré avoir quitté le domicile familial parce qu'elle avait été victime de viols de la part de son père. Les agissements de ce dernier auraient commencé en 1998 quand elle avait 12 ans et auraient duré jusqu'en 2007. La victime a, par ailleurs, affirmé que son père l'avait emmenée avorter à deux reprises. Le père de famille a reconnu les faits et a été déféré lundi soir au parquet de Créteil. Il a été mis en examen mardi pour enlèvement et séquestration, ainsi que pour viols et agressions sexuelles par ascendant, pour une partie des faits sur mineure de 15 ans, et placé en détention provisoire. Son fils et son frère, mis en examen pour enlèvement et séquestration, ont été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction de rencontrer la victime. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:05 | |
| VIOLS SUR MINEURS DE 15 ANS EN REUNION
ASSISES DE LA CÔTE-D'OR
La cour d'assises de la Côte-d'Or juge jusqu'à demain une affaire de viols sur mineur de 15 ans en réunion, viols par ascendant et par personne ayant autorité.
Juste quelques heures passées à cette audience publique et un mot vous viendra instantanément à l'esprit.Ce mot est « insoutenable ». On y juge trois individus de 50, 42 et 35 ans que les psychiatres regardent comme ressortissants d'une zone limite entre normalité et déficience intellectuelle. Ils se taisent et affichent au public des faciès dont on ne sait s'ils doivent leur impassibilité à une hébétude chronique ou à la crainte d'un sort judiciaire pour eux imprévisible.
On les accuse en termes choisis dans le code pénal de viols sur mineur de 15 ans, viols par ascendant, agressions sexuelles sur mineurs. Si, en personnes non initiées aux termes juridiques, vous les appelez « bourreaux d'enfants », vous serez tout autant dans le vrai. Voudriez-vous en juger ? Imaginez un petit enfant de 4 ou 5 ans qui, dans sa lettre au père Noêl, passe commande d'une « baguette magique pour transformer mon papa en crapaud » Qu'a-t-il donc fait, ce papa-là, pour que son fils formule pareil souhait ? Pas grand-chose ? Il ne l'a qu'attaché sur une chaise sans dossier pour le violer chaque week-end. Et sa mère, témoin ou informée des faits ne l'a même pas secouru. Huis clos écarté Son commentaire sur le sujet, ira même jusqu'au « je n'en ai rien à f...» des adjudants de légende. S'agissant de sa fille, il y va d'autres raffinements tels que la laver intimement avec une éponge abrasive avant les traitements que l'on imagine.
Six enfants sont concernés par le comportement de ce couple, imité par un voisin, aujourd'hui quinquagénaire, qui, lui, faisait fumer et boire du pastis à des bambins avant d'en user sexuellement. C'est sans doute pour que le public sache qu'il existe encore des êtres humains si proches des primates que la justice a écarté le huis clos. Certains jugent que ce n'est pas là une bonne idée. Admettons que ça se discute. Bien sûr, on ne fait pas venir à l'audience les enfants concernés. A la lecture de l'accusation, on s'aperçoit que des enfants nés en 1997 ont été violentés en 2000, d'autres nés en 1994 en 2002. Bref, celui qui parlerait de bébés ne serait pas bien loin de la réalité. On ne les fait pas venir mais, ainsi qu'y autorise maintenant la Loi, on projette aux jurés le film télévisé de leur interview par les services spécialisés de la police.
C'est la télé des anges blessés. Imaginez, s'il vous plaît, l'effet produit. Depuis le matin on parle certes d'enfants au prénom de tout premier âge. On les imagine utilisés à des fins quasi bestiales mais leurs petits visages sont laissés à l'imaginaire de chacun. Tout à coup, ils apparaissent avec un vrai regard, une forme et un langage de gosses empêtrés dans les mots nécessaires à la descrïption des crimes de leur père et mère. On voit un petit garçon mimant la posture de ses tortures, une fillette devenue presque jeune fille manipulant des lunettes noires dont l'interviewer a dû avoir bien du mal à lui enlever des yeux. Ce qu'ils confessent leur donne apparence de victimes alors qu'il n'est pas impossible qu'ils le vivent en presque-coupables. Oui le non-huis clos de cette sorte d'audience est sans doute nécessaire dans une société bien propre sur elle et toute ancrée dans la certitude que les crimes de cette sorte n'ont existé qu'en temps lointains de brutes primaires incultes et quasi sauvages. Non, il s'agit d'une audience qui aura lieu de mercredi à vendredi du 9e mois de la 7e année de notre XXIe siècle.
Celui qui a posé en antichambre de la cour d'appel l'affiche éditée par une association de protection de l'enfance reste dans l'actualité. L'affiche proclame « Un enfant n'est JAMAIS un partenaire sexuel ». Les psychiatres, entendus ce jeudi, nous expliqueront peut-être pourquoi certains individus ne comprennent pas le bien-fondé de la maxime.
A presque minuit trente, vendredi, la cour et le jury rendaient leur verdict dans l'affaire des viols sur mineurs par ascendants
Le principal accusé est condamné à 18 ans de réclusion criminelle, outre suivi sociojudiciaire et privation des droits civiques. L'accusé - dont nous ne citons pas le nom puisqu'il est le même que celui des petites victimes - reconnaissait des faits dont la gravité ne peut échapper à personne à savoir des attouchements et pénétrations sur des bambins âgés de 20 mois à 7 ou 8 ans. L'individu agissait en attachant les enfants sur une chaise sans dossier pour abuser d'eux (nos éditions de jeudi 27 septembre). M. l'avocat général Ezingeard s'était expliqué sur sa demande d'application du maximum de la peine soit 20 ans de réclusion criminelle.
« Socialement dangereux » « Les psychiatres le disent socialement dangereux mais pas au sens psychiatrique du terme puisque, selon eux, il ne s'agirait pas d'un pédophile endurci. Je m'interroge alors, notera M. Ezingeard sur ce qu'est alors un pédophile endurci car, si celui-ci n'en est pas un, il faut nous donner une définition précise ! » Et d'ajouter : « je recherche en vain où seraient les circonstances atténuantes pour un homme alcoolique profond qui se livrait chaque week-end sur son fils et d'autres enfants à des actes de ce genre, ne manifeste aucun regret ? » Peut-être le délibéré a-t-il pris en considération le niveau intellectuel de l'intéressé puisque la peine prononcée sera de 18 ans.
Reste le cas des deux autres accusés qui sont acquittés. Il s'agit de l'épouse et d'un voisin que l'arrêt de renvoi décrivait, non comme simples complices, mais comme auteurs directs d'actions sexuelles sur les enfants. L'épouse, mère des enfants martyrisés, se situe, selon les experts dans une « zone limite entre normalité et déficience intellectuelle ». La Cotorep l'a classée invalide à 80 %. Son histoire est celle d'une fille d'une fratrie de huit enfants, dont le père a été incarcéré pour faits d'agression sexuelle et sa mère condamnée pour maltraitances. Elle n'aurait jamais signalé les actes de son conjoint. L'accusation criminelle porte, en ce qui la concerne, sur des actes concrets d'agressions, dénoncés par les seuls enfants et non corroborés par des traces individualisables. Le voisin, alcoolique avéré, est aussi connu comme recherchant les très jeunes femmes. Il reconnaît des rapports avec des fillettes de 13 ans. Il est aussi amateur de cassettes porno. Compagnon de beuverie du père, il a un jour entraîné le plus jeune pour lui faire boir et fumer. On l'accuse, à cette occasion, d'en avoir abusé. C'est ce que dit l'enfant et c'est même ce qu'il aurait avoué à la mère qui se contente de commenter : « c'est vrai qu'il me l'a avoué, mais il était complètement saoul et je ne l'ai pas cru. Il n'aurait pas été saoul que je serais allée à la gendarmerie. » Il s'agit de personnages loin de l'image de l'innocence classique. La cour les a pourtant acquittés car elle a considéré que même les êtres les plus vils ont droit au bénéfice de la Loi pénale qui réclame des preuves tangibles et accorde le bénéfice du doute aux accusés. Voilà qui rappelle l'inoubliable aventure d'Outreau. Sa cruauté a suscité une commission parlementaire, dont le rapport indigné n'a engendré aucune modification dans le milieu strictement judiciaire qui est même allé jusqu'à réclamer sa propre absolution. Les jurés peuvent, par un verdict tel que celui-ci, rappeler qu'ils imposent une prudence sévère, même lorsque leur seront présentés des « coupables d'environnement idéal pour éloigner l'indulgence ». En d'autres termes, les jurys populaires comprendraient-ils plus vite la leçon d'Outreau que les professionnels de justice ? » La défense, Me Verrier, avocat du père et Mes Billard et Touraille, avocats des acquittés ont œuvré pour faire progresser la réflexion. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:06 | |
| LE GRAND-PERE ABUSAIT, LA GRAND-MERE REGARDAIT
BRUXELLES Les abus ont duré pendant près de sept ans, entre 1989 et 1996.
Sur les quatre victimes, deux ne pourront pas obtenir satisfaction de la justice, en raison de la prescrïption des faits. L'affaire éclate en 2002. L'une des victimes est agressée sexuellement dans le hall de son immeuble. Et c'est à cette occasion qu'elle révèle les actes odieux subis des années plus tôt, alors qu'elle était enfant : "Papy m'a violée" . Elle n'avait que 6 ans.
Ses trois soeurs et demi-soeurs ont reconnu qu'elles avaient fait l'objet des mêmes abus.
Mais qui était l'abuseur ?
Leur grand-père. Pendant sept ans, le papy a abusé de ses petites-filles, chaque fois que l'occasion se présentait. En vacances. À la campagne. Dans les caravanes. Le plus souvent possible.
La justice bruxelloise enquête et renvoie le pervers devant ses juges. Mais la grand-mère est aussi poursuivie. Parce qu'elle n'a rien fait pour protéger les petites, parce qu'elle a fermé les yeux. Et pis encore, parce qu'elle a assisté aux faits sans venir au secours des enfants.
Elle était donc poursuivie comme co-auteur, une prévention plus grave que celle de non-assistance à personne en danger.
Dans son jugement, le tribunal correctionnel de Bruxelles a condamné le papy à une peine de 4 ans de prison et la mamy à une sanction d'un an.
Âgés respectivement de 80 et 76 ans, les deux pervers ont bénéficié d'un sursis complet. Le psychiatre avait notamment relevé que le psychisme des prévenus avait tendance à se détériorer. Le tribunal a donc considéré que l'âge et l'état de santé des prévenus devaient leur permettre d'éviter la prison. | |
| | | kathy Fouine admin
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| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:07 | |
| CONDAMNE A 20 ANS
Un retraité a été condamné à 20 ans pour des actes commis dans les années 80. Deux des dossiers concernent "des viols par ascendant ou par personne ayant autorité", puisque l'une de ses victimes présumées n'est autre que sa propre fille ! Source : France 3
Un retraité de 66 ans, accusé de viols et d'agressions sexuelles, a été condamné mercredi 3 octobre par la Cour d'Assises de la Nièvre, à 20 ans de réclusion criminelle, assortis d'une peine de sûreté de dix ans. Il comparaissait pour cinq dossiers : les faits incriminés se sont déroulés entre 1984 et 1993.
C'est en 2002 qu'une victime de ce pédophile présumé a donné l'alerte à ses parents et permis l'ouverture d'une information judiciaire qui a abouti à la comparution, devant les assises de la Nièvre de cet homme, aujourd'hui âgé de 66 ans, impliqué dans cinq dossiers.
Deux des dossiers concernent "des viols par ascendant ou par personne ayant autorité", puisque l'une de ses victimes présumées n'est autre que sa propre fille.
Les trois autres concernent des "agressions sur mineurs de quinze ans". L'homme profitait notamment des absences de sa femme, nourrice en garde d'enfants, pour attirer ses victimes dans un cabanon situé au fond du jardin. Au cours de l'instruction, d'autres affaires ont été évoquées, mais certaines des victimes n'ont pas souhaité porter plainte. L'homme, aujourd'hui divorcé, est en détention depuis juin 2005 à la maison d'arrêt de Nevers. Il avait déja été condamné en 1987 pour des affaires d'agressions sexuelles.
20 ans de réclusion criminelle
Au terme de 3 jours de procès, la Cour d'Assises de la Nièvre a rendu son verdict : 20 ans de réclusion criminelle, assortis d'une peine de sûreté de 10 ans. L'avocat général, Axel Schneider, avait précisé lors de l'audience, que si l'accusé ne comparaissait "que" pour deux affaires de viols et trois agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans, il était impliqué dans une vingtaine d'autres affaires prescrites depuis. Maitre Schneider avait requis une peine de 18 ans de prison. Qualifié par des experts de "pervers dangereux présentant un risque de récidive malgré son grand âge", l'homme n'avait semble-t-il pas été victime de sévices sexuels dans son enfance, comme c'est souvent le cas dans ce genre d'affaire. Pendant les 3 jours de son procès, l'accusé est apparu aux jurés comme un homme renfermé, recroquevillé dans son box, "comme s'il ne voulait pas affronter la réalité" selon les avocats de la partie civile. | |
| | | kathy Fouine admin
Nombre de messages : 7467 Age : 45 Localisation : dans l'Essonne Citation : Ne juge pas sur des apparences Date d'inscription : 13/04/2008
| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:08 | |
| LANCER UN BEBE DE 18 MOIS SUR UNE DISTANCE DE 2 OU 3 METRES
Source : TF1, LCI
Trois jeunes de 16,17 et 18 ans viennent d'être interpellés pour s'être lancé un garçon de 18 mois, sur une distance de deux à trois mètres, et avoir filmé l'action qu'ils ont ensuite diffusée sur Internet Cette sordide affaire a pu être révélée grâce au travail des gendarmes du Département Surveillance Internet de la Gendarmerie nationale, basé au fort de Rosny sous Bois, en Seine-Saint-Denis (lire encadré). Forums, tchat, newsgroup, peer-to-peer, tout est bon pour traquer sept jours sur sept les infractions commises sur la toile. Ces gendarmes high-tech s'appuient sur des logiciels qui permettent par des mots-clés de remonter sur des contenus illégaux. "La violence des images nous a choqué"
"Nous avons eu connaissance début août de cette vidéo en interceptant des discussions sur un forum, explique à LCI.fr le lieutenant Karine Béguin, responsable du département. Grâce à cela, nous avons pu retrouver la vidéo en question. La violence des images nous a choqué. Le bébé était lancé comme un vulgaire ballon de basket. Cette violence aurait très bien pu entraîner des séquelles, notamment le syndrôme du bébé secoué".
Les gendarmes de ce département, ayant le statut d'officiers de police judiciaire à compétence nationale, une procédure a immédiatement été initiée. "Nous avons tout d'abord requis le site qui hébergeait la vidéo pour savoir qui avait mis la vidéo en ligne, détaille le lieutenant Béguin. Grâce à l'adresse IP, nous avons pu remonter sur un fournisseur d'accès internet qui, par chance, était français. Ce dernier nous a alors donné l'adresse complète de l'individu auteur de la mise en ligne de la vidéo". En deux jours, le dossier était bouclé et transmis au procureur de Montluçon, lieu de la domiciliation de l'individu recherché. Interpellations bouclées en moins de 24 heures
"Vers la mi-août, j'ai été saisi par la cellule de Rosny, confirme à LCI.fr, Philippe Toccanier, procureur de la République de Montluçon. Ils m'ont envoyé un dossier papier accompagné d'un CD-Rom avec des photos de la vidéo permettant de constater l'infraction. J'ai alors immédiatement saisi les services de police compétents". Le 19 septembre, un jeune homme, mineur, qui avait filmé et mis en ligne la vidéo, était arrêté. Au bout de 24 heures, ce dernier donnait les noms de ses deux comparses, auteurs des violences. Un mineur et un majeur, interpellés le 20. Tous seront convoqués par la justice. Le mineur poursuivi pour la diffusion d'enregistrement d'images montrant des violences encourt 2 ans et demi de prison. Les auteurs des violences encourent 3 ans pour le majeur, la moitié pour le mineur.
500 à 800 procédures par an Le département Surveillance Internet de la Gendarmerie nationale a été créé en 1998. Il s'agit d'une des branches du STRJD, Service technique de recherches judiciares et de documentation, basé à Rosny-sous-bois. Vingt personnes scrutent la toile 7 jours sur 7, à la recherche des différentes infractions régies par le code pénal. Tous sont réunis sur un plateau central, avec d'un côté les gendarmes spécialisés dans la traque des sites pédopornographiques, de l'autre ceux qui surveillent tout le reste. Ce département lance entre 500 et 800 procédures par an. Plus de 80% sont suivies en justice. Les affaires de pédo-pornographies arrivent largement en tête des infractions qu'ils décèlent devant les stup', la contrefaçon, le proxénétisme ou la haine raciale. "Démonter un réseau de pédophilie peut parfois immobiliser plusieurs de nos gendarmes pendant un à deux mois, mais quand ce réseau tombe, c'est très gratifiant car il en va du bien-être de notre société", explique le lieutenant Béguin. Sur le terrain, ces gendarmes sont épaulés par près de 200 gendarmes spécialisés dans les nouvelles technologies et qui sont ponctuellement amenés à surveiller le web. | |
| | | kathy Fouine admin
Nombre de messages : 7467 Age : 45 Localisation : dans l'Essonne Citation : Ne juge pas sur des apparences Date d'inscription : 13/04/2008
| Sujet: Re: Anciens faits divers Dim 20 Avr 2008 - 9:08 | |
| NOYE DANS SON BAIN A 8 ANS Source = DH net article de F.D. Accident ou maltraitance ? Une instruction est ouverte et une reconstitution a été effectuée CHÂTELINEAU Un véritable drame s'est joué mardi soir, derrière les murs du n° 127 de la rue du Sart Allet, à Châtelineau, où Geoffrey, un petit garçon de 8 ans plein de vie, s'est noyé dans son bain. À l'heure d'écrire ces lignes, il semblait toutefois devoir sortir du coma artificiel dans lequel les médecins l'avaient plongé. Le mystère plane encore sur le déroulement des faits. Dès son retour de l'école, son père l'aurait envoyé prendre un bain. D'après ce dernier et sa compagne, le silence aurait fini par les inquiéter, tant Geoffrey était habitué à patauger bruyamment dans la baignoire. La belle-mère du petit se serait alors rendue dans la salle de bains, trouvant le corps du garçonnet déjà bleu et flottant dans les quelques centimètres d'eau. Le témoignage de Geoffrey pourrait être déterminant Avertis des faits, les secours se sont rendus immédiatement sur place. Après de longs massages cardiaques, l'enfant a pu être récupéré et transporté au CHU de Charleroi. Mais les médecins ont constaté divers éléments troublants. Geoffrey présentait en effet des hématomes, mais également des brûlures au thorax sans doute dues à de l'eau bouillante. Le médecin légiste a donc été appelé et une instruction a été ouverte. Hier, vers 15 h, le père et la belle-mère de Geoffrey ont été privés de liberté à l'hôpital et ramenés à la rue du Sart Allet pour une reconstitution, ordonnée par la juge d'instruction Martine Michel. Le devoir d'enquête aura duré plus de trois heures. Mais rien n'a filtré des murs de cette maison de rangée, devant laquelle était stationnée une vieille caravane. On sait que Geoffrey a été surpris à voler trois euros à l'école. Cela lui a-t-il valu une sévère correction ? Hier soir, aucune inculpation n'avait encore été décernée. Mais la police locale de Châtelet devait poursuivre les interrogatoires des parents, privés de liberté durant 24 heures. Au CHU, Geoffrey semblait devoir gagner son combat contre la mort. Son réveil pourrait être déterminant pour l'enquête. | |
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| Sujet: Re: Anciens faits divers | |
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