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 Anciens faits divers

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kathy
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MessageSujet: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:46

Anciens faits divers Numeri11
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kathy
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:47

PROJET D'ENLEVEMENT D'ENFANTS SUR INTERNET

Ils avaient l'endroit, un local situé dans l'agglomération de Rouen ;
les instruments, un caméscope, des cassettes vierges, un fer pour
marquer la peau à vif ; ne leur manquait plus qu'une victime : une
petite fille, âgée de 5 à 9 ans, de préférence. C'était sans compter la
vigilance des policiers belges et français qui, après un long travail
d'enquête en étroite collaboration, ont déjoué leur sordide projet.

Deux hommes ont été interpellés à Rouen et à Nice, en mai, pour avoir
préparé l'enlèvement et le viol d'une fillette. Agés d'une cinquantaine
d'années, ces deux pères de familles n'étaient pas connus des services
de police. Ils ont été écroués et mis en examen pour "participation à
une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'enlèvement et
de séquestration d'une mineure avec actes de barbarie", a précisé à
LCI.fr, le procureur de la République de Rouen, Joseph Schmit.

"Faire des choses horribles"

C'est un membre de Child Focus (centre européen pour enfants disparus
et sexuellement exploités), une association mise en place après
l'affaire Dutroux, qui a repéré les deux hommes sur un chat fin mars
dernier. Alertée, la police belge infiltre la discussion sur le web et
se mêle au projet. Il est question d'enlever une petite fille, de lui
"faire des choses horribles", selon le magistrat, de la garder un
week-end durant, puis de ne la libérer qu'après l'avoir marquée au fer
rouge sur l'aine d'un S "comme soumise". Les deux hommes évoquent un
rapt qui devrait avoir lieu à la sortie d'une école, dans le nord de la
France ou en Belgique. Le mois de juin est décidé. Les départements de
la Haute-Normandie, la Seine-Maritime, la Seine-et-Marne et le Nord
sont mentionnés. Les autorités belges préviennent leurs collègues
français. La SRPJ de Rouen et de Nice, d'où est originaire l'autre
homme, commencent leur enquête. Les deux hommes sont surveillés par le
biais d'écoutes téléphoniques notamment.

"On n'avait pas assez d'éléments pour faire plus, raconte Joseph
Schmit. Nous étions dans le virtuel et la loi ne punit pas
l'intention." Vendredi dernier, l'affaire se concrétise. Le Rouannais
propose à l'infiltré belge de lui faire visiter le local repéré comme
salle de tortures. L'infraction se caractérise, l'homme est interpellé.
Son complice avait lui été arrêté le 2 mai alors qu'il s'apprêtait à
commettre une agression sexuelle sur une autre enfant. A la fin de
l'instruction, les deux hommes devraient comparaître devant le tribunal
correctionnel. Ils risquent dix ans de prison.
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kathy
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:48

ABANDONNES COMME UNE LETTRE A LA POSTE

magasine "infobébés" juin 2007


La ville de Kumamoto, au sud du japon,sera la première du pays à
disposer d'une "boîte à bébé". Installée dans le hall d'un hôpital, les
parents pourront alors y laisser anonymement leur nouveau-né.Le but du
concept, plus connu en Allemagne : limiter les avortements et
encourager l'adoption.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:50

UNE SOEUR ET UN FRERE INCESTUEUX

Un jeune homme de 24 ans rencontre une jeune fille de 16 ans. Tous deux
ne se connaissaient pas auparavant car ils avaient été placés. Ils
s’aiment et ils ont ensemble 4 enfants. 3 de leurs 4 enfants sont
placés à leur tour. Le jeune homme a déjà fait onze mois de prison.
POURQUOI, et bien parce qu’ils sont frère et sœur et les «
bien-pensants » en les plaçant dans 2 endroits différents ont gâché
toute leur jeunesse. Maintenant, ces mêmes « bien-pensants » les
accusent d’inceste, mais comment peut-il y avoir inceste entre 2 êtres
qui n’ont rien en commun sur leur passé. Est-ce que ces enfants vont
être adoptables par des couples homosexuels ?

Cette information grâce aux médias qui aiment le sensationnel. Ça ne se passe pas très long de chez nous : c’est en Allemagne.

Un frère et une sœur incestueux veulent faire changer la loi

(archives, Bild, 2004)
Un frère et une sœur condamnés en 2005 par la justice allemande pour
"inceste" parce qu'ils ont eu ensemble quatre enfants vont porter
l'affaire devant la Cour constitutionnelle afin d'obtenir que les
relations sexuelles entre frères et sœurs ne soient plus pénalisées, a
annoncé mardi leur avocat.

L'article 173 du Code pénal allemand, qui punit de trois ans de prison
maximum les relations sexuelles entre frères et sœurs adultes, est une
"atteinte intolérable" au droit fondamental des adultes de choisir
librement leurs partenaires sexuels, fait valoir l'avocat du couple,
Maître Endrik Wilhelm.

Patrick S., âgé de 28 ans, et Susan K., 21 ans, sont frère et sœur de
sang même s'ils ne portent pas le même nom, le garçon ayant été
abandonné par sa mère puis adopté. Patrick et Susan ne se sont connus
qu'en 2000. Leur premier enfant est né l'année suivante, suivi de trois
autres.

Le père a été condamné en novembre 2005 à deux ans et demi de prison
pour inceste, tandis que sa sœur et compagne était condamnée pour les
mêmes faits, mais dispensée de peine. Lors de leur procès, leurs
avocats avaient qualifié de "reliquat de l'histoire" l'article de la
loi allemande qui sanctionne l'inceste.

Patrick S. étant depuis sorti de prison, le frère et la sœur habitent
actuellement sous le même toit, avec leurs quatre enfants. (belga)

CETTE DERNIERE INFORMATION EST FAUSSE CAR 3 DES ENFANTS SONT PLACES ACTUELLEMENT
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:50

MALTRAITANCES SUR DES ENFANTS HANDICAPES

Des enfants handicapés mentaux tenus en
laisse à l'école : Des enseignants font état de cas récurrents de
maltraitance, coups et gifles, lire la suite ….
Source : un article écrit par Gilbert Dupont

Curieuses méthodes à l'école des Acacias à Anderlecht

ANDERLECHT Des enseignants, dont une à visage découvert, font état de
cas récurrents de maltraitance, coups et gifles portés par des
collègues à des enfants de 6 à 13 ans fréquentant une école
d'enseignement spécial communal à Anderlecht, l'école des Acacias. Au 1
place Séverine, les Acacias accueillent 140 enfants de types 1 et 2,
que l'administration appelle débiles légers et débiles profonds. Ce
sont des membres de l'équipe pédagogique de cette école qui dénoncent
une dizaine de leurs collègues qui auraient pris pour habitude de
frapper et gifler des enfants porteurs de handicaps, par essence
fragiles et vulnérables. Déjà, une maman dépose plainte et se constitue
partie civile pour non-assistance. Fin juin, sept noms d'enseignants
ont été communiqués à l'autorité communale. Trois pourraient s'ajouter.
Deux ont été entendus comme témoins.
L'échevin, M. Fabrice Cumps, parle d'atmosphère plombée. Quant à celle
qui dénonce, elle paie déjà les pots cassés. Mme Isabelle, 31 ans, a
appris qu'elle serait déplacée dès la rentrée, ce qu'elle considère
comme une sanction déguisée. La direction, enfin, écrivait déjà le 21
mai dernier : "Si jamais la presse était informée, il est interdit que
ces journalistes pénètrent dans l'enceinte de l'école. Si vous
(enseignants) êtes interpellés chez vous ou en dehors de l'école, ne
pas répondre et les renvoyer vers le PO. Ce sera également mon
attitude".
Des enseignants rapportent qu'il y a cinq ou six ans, il était de
pratique à l'école des Acacias, de maintenir les enfants turbulents en
les attachant à des laisses de chien. C'est fini. Ces dernières années,
la prof de morale, bien que toujours en activité, a abandonné le
procédé et définitivement rangé les laisses à chiens.
"C'est tous les jours que des enfants sont frappés ou prennent une
gifle pour un oui ou un non. On répète dix fois au même de ne pas
toucher à la sonnette. Avec certains enseignants, souvent les mêmes,
c'est sûr qu'à la onzième, le petit se prendra une gifle. Ce n'est pas
admissible. Nous sommes plusieurs à l'école à ne plus pouvoir accepter
ce comportement de la part de nos collègues".
L'an passé, des enfants en détresse affective furent victimes d'un
harcèlement moral proche du sadisme. C'est le cas d'une petite fille de
10 ans, J., tourmentée par des adultes qui la savaient littéralement
terrorisée à l'idée de passer l'année prochaine en internat.
Un lundi du mois de juin, un enfant autiste africain en difficulté
d'intégration, arrivé à l'essai le jeudi précédent, était frappé
violemment par sa titulaire qui demandait à sa collègue d'en faire
autant. Des témoins ont vu. La collègue, une puéricultrice, a refusé de
frapper l'enfant. En mai, une petite fille de 7 ans a été oubliée dans
les toilettes pendant une demi-heure. Les enfants les plus lents
terminent leur repas chaud de midi qu'ils mangent à terre à la cour de
récré. Un procédé fréquent aux Acacias consisterait à secouer les
enfants jusqu'aux larmes. On s'indigne d'apprendre qu'un enfant court
les pieds nus sous la pluie ou, par temps de canicule, sur le sol
brûlant de la cour de récréation.
Il y a eu du racket entre enfants. Une plainte a été déposée après
qu'un autre ait peut-être été victime d'abus sexuel. Dans son cas, ce
n'est pas le viol lui-même mais l'attitude de la direction qui a poussé
sa maman à porter l'affaire chez un juge.
La police locale mène l'enquête.
Le parquet est informé (BR.37L3017103/07). À l'époque pas si lointain
des laisses de chien, un procédé consistait à maintenir sous la douche
l'enfant qui pleurait trop le jour de la rentrée.
Des enseignants dénoncent. Pas tous. L'échevin n'est pas resté sans
réagir. Au contraire, Fabrice Cumps a diligenté plusieurs enquêtes et
rencontré le plus grand monde. Rien à ce stade ne lui a prouvé que les
méthodes suivies aux Acacias n'étaient pas conformes à la déontologie,
dit-il hier, néanmoins perplexe.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:51

INFANTICIDE ET SUICIDE DE LA MAMAN

Une jeune mère de famille s'est suicidée samedi matin en se jetant sur
les voies de la gare de Noisy-Champs en Seine-et-Marne après avoir très
vraisemblablement tué ses deux enfants de 18 mois et 4 ans dont les
corps poignardés ont été retrouvés peu de temps après à son domicile.
Les premiers éléments de l'enquête "laissent penser que c'est elle l'auteur du drame", a expliqué le parquet de Meaux à l'AFP.
La jeune femme, âgée de 28 ans, s'est jetée à 10H55 sur les voies de
chemin de fer à l'arrivée d'un train en gare de Noisy-Champs.
Grâce à des papiers d'identité qu'elle portait sur elle, les enquêteurs
ont localisé son domicile situé à Champs-sur-Marne, à proximité de la
gare qui dessert également la commune de Noisy-le-Grand
(Seine-Saint-Denis).
Ils ont alors découvert dans son appartement les corps sans vie des
deux enfants ainsi que l'arme de ce très probable infanticide, selon
cette même source. Des traces d'une quinzaine de coups de couteau ont
été retrouvés sur chaque enfant.
"Pour l'instant, on essaie de recomposer l'histoire de cette jeune
femme pour en savoir un peu plus sur sa vie afin de comprendre le motif
de cet acte", a indiqué le parquet.
La jeune femme était secrétaire médicale à l'hôpital Lariboisière à
Paris, menait "une vie normale, était bien insérée" et "n'avait pas de
difficultés particulières".
Son compagnon dont elle était séparée depuis le mois de février a été
contacté mais n'a pas pu être joint par les enquêteurs, a précisé la
même source judiciaire.
Quant aux parents de la jeune femme arrivés sur les lieux après la
découverte de la tragédie, "ils seront entendus dès que possible"
lorsque leur état de santé le permettra car "ils sont sous le choc", a
ajouté le parquet.
Les enquêteurs ont commencé samedi à procéder aux premières auditions
du voisinage en attendant celles des collègues de travail dans les
prochains jours afin de mieux cerner le profil de cette femme.
Des tests toxicologiques devaient être pratiqués samedi soir afin de
déterminer si les enfants ont été drogués avant d'être tués. Une
autopsie complète des corps sera également faite lundi matin.
Le parquet de Meaux a indiqué qu'une fois tous les éléments d'enquête
réunis, il étudiera la possibilité d'ouvrir une information judiciaire.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:52

18 ANS APRES, LE VIOLEUR EST ARRETE

Dix-huit ans après le viol d'une petite fille de 11 ans, à
Bourg-en-Bresse (Ain), Bruno Favre, l'agresseur présumé, vient d'être
trahi par son ADN. Ce père de famille âgé de 45 ans possède un profil
qui affole les enquêteurs.

Depuis le 1er juillet, Bruno Favre, 45 ans, dort en prison. Cet homme
en apparence au-dessus de tout soupçon a été mis en examen début
juillet pour le viol d'une fillette de 11 ans commis en 1989 à
Bourg-en-Bresse (Ain). Trahi par son ADN dix-huit ans après les faits,
l'homme sera entendu aujourd'hui par le juge d'instruction.


Un viol sordide. Le 30 septembre 1989, Ludivine*, 11 ans, quitte le
domicile familial de Bourg-en-Bresse pour aller chercher son frère et
sa soeur à l'école. Sur la route, elle est abordée par un
automobiliste. La petite est méfiante, mais l'homme parvient à
l'emmener de force. Dans un bois, il la viole avant de la ramener à
l'endroit où il l'a enlevée. La fillette est en sang et porte des
traces de strangulation. Malgré les recherches des gendarmes et le fait
que la police scientifique a relevé l'empreinte génétique de
l'agresseur, l'enquête n'aboutit pas. En 1994, le dossier est clos une
première fois.

L'ADN fiché. En 1997, Ludivine croit reconnaître son bourreau dans la
rue. Le parquet décide de rouvrir l'enquête. Mais le suspect est
rapidement mis hors de cause : son ADN ne correspond pas avec celui du
sperme retrouvé sur les vêtements de l'enfant. En 1999, les
investigations cessent à nouveau. Mais le parquet n'abandonne pas, et
décide d'ouvrir une troisième fois ce dossier qui a suscité un émoi
considérable dans la ville. En 2004, le profil génétique du violeur est
inscrit au Fichier national automatisé des empreintes génétiques
(FNAEG). « Cette étape s'est révélée déterminante », relate Jean-Paul
Gandolière, l'actuel procureur de Bourg-en-Bresse. Les mois passent,
mais l'ADN, désormais le seul espoir de voir l'enquête aboutir, ne «
parle pas ». Jusqu'au printemps 2007. « On a été avisé mi-juin qu'un
rapprochement avait été effectué. On a interpellé le suspect deux
semaines plus tard, après avoir vérifié que le résultat n'était pas
contestable.

Le réveil du passé. Pour la victime, cette interpellation est un choc.
« Ludivine est heureuse, mais elle est aussi bouleversée, confie son
avocate Me Agnès Bloise. Cela réveille le passé. Même si elle est
devenue une très jolie jeune femme extravertie, elle a dû suivre une
psychothérapie très lourde. » Tant d'années plus tard, Ludivine
reconnaît son agresseur sur photos. « Je n'aurais jamais pu oublier ce
regard-là », lâche la jeune femme. Après avoir nié les faits, Bruno
Favre les reconnaît partiellement au cours de sa garde à vue. « Il est
complètement sonné », commente son avocat, Me Patrick Uzan. « Il a
conscience que ce qu'il a fait est très grave, il n'est plus le même
homme aujourd'hui. »

Une bagarre de voisinage. Au moment de son interpellation, Bruno Favre
mène une existence paisible avec sa concubine et ses deux filles dans
le village de Port-Lesney. Sa seule erreur aura été de s'en prendre à
son voisin en 2005. Condamné pour « violence volontaire » en première
instance et en appel en 2006 à la suite d'une bagarre de voisinage, il
fait l'objet d'une inscrïption au FNAEG. Depuis une loi de 2003, les
auteurs de ce type de faits sont en effet susceptibles d'être fichés.
Le rapprochement entre les deux traces ADN devenait alors inévitable.

En cavale. Quand ils s'intéressent au parcours de leur suspect, les
enquêteurs font une étonnante découverte. Le 15 juin 1987, Bruno Favre
a été condamné à six ans de prison par la cour d'assises de Genève
(Suisse) pour des attentats à la pudeur sur mineurs commis en 1986.
Poursuivi pour 16 cas, il est reconnu coupable de 11 agressions sur des
enfants de 6 à 14 ans. Le 9 septembre 1988, alors qu'il a déjà effectué
près de trois ans de prison, il bénéficie d'une permission de sortie.
Mais il ne réintègre pas sa cellule. Bruno Favre est alors un fugitif,
mais, curieusement, les autorités helvétiques ne lancent aucune
recherche.

Un profil inquiétant. Le profil de récidiviste de Bruno Favre met
aujourd'hui en émoi la justice. « Il commet le viol de Bourg-en-Bresse,
alors qu'il a déjà agressé des mineurs et qu'il est en cavale. Malgré
cela, il n'hésite pas à passer à l'acte à nouveau. Cela traduit chez
lui un sentiment de surpuissance et d'impunité. C'est le profil d'un
homme qui pourrait avoir fait d'autres victimes », avance une source
proche du dossier. Le passé du suspect est passé au crible depuis un
mois. Les enquêteurs ne sont peut-être pas au bout de leurs
découvertes.
* Le prénom a été modifié.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:52

IL TORTURE SON FILS DE 3 ANS

Encore une horreur commise par un récidiviste !!! Un homme écroué pour actes de torture et de barbarie sur son fils de 3 ans
Source

Un jeune homme âgé de 23 ans a été mis en examen et écroué samedi à
Lille pour avoir violemment battu, notamment avec une spatule en bois
et un câble électrique, son fils de trois ans, a-t-on appris jeudi de
source judiciaire.
La mère de l'enfant, âgée de 20 ans, avait donné l'alerte le jeudi
précédent en se rendant au commissariat avec son enfant couvert
d'ecchymoses, a-t-on précisé au parquet de Lille.

La veille au soir, le père de l'enfant, connu pour être un consommateur
d'héroïne, avait violemment battu son fils, notamment en lui brisant
une spatule sur les fesses en le frappant avec, en lui portant une
cinquantaine de coups avec un câble électrique, ou en le brûlant avec
une cigarette. Il l'aurait également suspendu par les pieds au-dessus
de l'escalier et lui aurait plongé la tête dans une baignoire d'eau
froide à plusieurs reprises.
Brièvement hospitalisé et ne souffrant d'aucune fracture, l'enfant a été placé mercredi dans un foyer à sa sortie de l'hôpital.

Le père, mis en examen pour actes de torture et de barbarie, a été
condamné en 2003 par la cour d'assises des mineurs de Douai pour coups
mortels à cinq ans de prison dont deux avec sursis pour des faits
remontant à 1997, alors qu'il avait 14 ans.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:54

IL TORTURE SA COUSINE DE 2 ANS 1/2

A 16 ans, il torture sa cousine de 2 ans jusqu'à la mort : la fillette était en vacances chez sa tante!


Une fillette de deux ans et demi, qui était en vacances chez sa tante,
est décédée des suites de blessures que lui aurait infligé son cousin
de 16 ans.
Elle aurait été rouée de coups de pieds et poings, secouée et brûlée
avec des cigarettes par son cousin, qui l'aurait prise comme
souffre-douleur.

Cela a probablement duré plusieurs jours. Des coups de pieds, de
poings, des brûlures de cigarettes. La fillette de deux ans et demi à
laquelle son cousin de 16 ans infligeait ces souffrances est morte le
10 juillet des suites de ses blessures. L'affaire se passe à
Garnat-sur-Engièvre, dans l'Allier. La fillette était en vacances chez
sa tante depuis la fin du mois de juin.

Tombée dans le coma le 7 juillet, elle n'a été emmenée à l'hôpital de Moulins-Yzeure par sa tante que le lendemain.
Transférée à l'hôpital de Clermont-Ferrand, elle est décédée de ses blessures deux jours plus tard.
Une information judiciaire pour violences ayant entraîné la mort a été
ouverte par le parquet de Moulins, qui a confié l'enquête à la brigade
de recherches de la gendarmerie.

L'adolescent a été placé en détention provisoire.

La tante de la fillette a été mise en examen et écrouée pour non
assistance à personne en danger et non dénonciation de crime. Le
concubin de cette dernière a été placé sous contrôle judiciaire
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:55

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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:55

MALTRAITANCE DURANT 28 ANS

La belle-mère de (L Gouardo, violée et maltraitée par son père durant
28 ans), a été condamnée hier à du sursis par le tribunal correctionnel
de Meaux pour « non empêchement de crime », la victime veut faire appel
et poursuivre l'Etat.
Source

La belle-mère de Lydia Gouardo, une femme violée et maltraitée par son
père 28 années durant, a été condamnée hier à du sursis par le tribunal
correctionnel de Meaux pour « non empêchement de crime », à la grande
déception de la victime qui veut faire appel et poursuivre l'Etat.
Lydia Gouardo, 44 ans, a subi des viols, séquestrations et actes de
barbarie de la part de son père légitime (mais pas génétique) de 1971 à
1999, date du décès de Raymond Gouardo, qui l'avait reconnue comme sa
fille. Six enfants en sont nés entre 1982 et 1993, sans que les
services sociaux ni la justice ne se porte à son secours.
Lucienne Ulpat, qui selon l'accusation a assisté à ces crimes sans rien
dire, ce qu'elle a nié, n'était jugée que pour la période courant du 10
août 1998 au 19 novembre 1999, les faits concernant la période
antérieure étant prescrits.
Mme Ulpat, qui ne s'est pas présentée au tribunal pour le délibéré, a
été condamnée à trois ans de prison avec sursis, et à verser 15.000
euros de dommage et intérêt à sa belle-fille, plus 3.000 euros de frais
d'avocat.
Lydia veut faire appel
Au prononcé du jugement, Lydia Gouardo n'a pu s'empêcher de s'exclamer
: « Elle aurait au moins pu passer cinq jours en prison, après tout le
temps que j'ai passé enfermée ! »
« Nous sommes déçus et outrés », a affirmé le compagnon de Lydia
Gouardo, Sylvain Skirlo. Il a annoncé que sa compagne ferait
certainement appel, et qu'elle avait l'intention de poursuivre l'Etat :
« Si les institutions socio-judiciaires avaient fait leur travail, le
calvaire de Lydia aurait pu prendre fin quand elle avait 12 ans ».
Ni l'Education nationale (elle n'était pas scolarisée), ni le service
d'action éducatif de Meaux qui l'a suivie de ses dix à dix-huit ans, ni
les gendarmes de la brigade de Crécy-la-Chapelle, à qui une enquête a
été confiée en 1996, ni les médecins qui ont eu à examiner les brûlures
à l'acide chlorhydrique infligées par son père, ne sont venus au
secours de Lydia Gouardo.
Celle-ci raconte même qu'elle a été plusieurs fois placée en foyer à
Melun après des fugues, et que son père l'en retirait systématiquement.

Me Christine Balducci-Guérin, son avocate, a confirmé qu'elle allait «
certainement » engager une procédure en responsabilité contre l'Etat.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:56

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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:57

IVAN

La responsabilité de l'Etat "au coeur" du drame, selon les avocats de la famille d'Ivan


Les avocats de la famille d'Ivan, l'enfant russe blessé après une chute
lors d'une tentative d'interpellation le 9 août à Amiens, ont demandé
mardi à l'Etat de "reconnaître sa responsabilité" dans cette affaire et
réclamé l'ouverture d'une information judiciaire.
"La responsabilité de l'Etat est au coeur de ce drame. Nous demandons à
l'Etat de reconnaître sa responsabilité", a déclaré Me Francis Lec lors
d'une conférence de presse avec Me Jacques Vergès à Amiens, en présence
du père et de la mère d'Ivan.
"Nous voulons l'ouverture d'une information judiciaire confiée à un
juge indépendant", a ajouté Me Lec, alors que seule l'Inspection
générale de la police nationale (IGPN) a pour l'instant été chargée
d'une enquête par le parquet d'Amiens. "L'enquête de l'IGPN n'est pas
suffisante", a jugé l'avocat.
Ivan, 12 ans, a été grièvement blessé le 9 août en chutant
accidentellement du 4e étage de son immeuble à Amiens lors d'une
tentative d'interpellation de ses parents en situation irrégulière.
Hospitalisé au CHU d'Amiens, son état de santé "évolue favorablement"
et il sort progressivement du coma dans lequel il se trouvait depuis
l'accident, a indiqué l'hôpital dimanche.
"Il est sorti de l'état critique", a affirmé mardi le père d'Ivan, Andreï Dembski, interrogé par l'AFP.
L'intervention des policiers vers 08H00 au domicile des parents avait
"une allure d'opération commando. Ils ont tambouriné à la porte pendant
près d'une heure", a dénoncé Me Lec.
"Quelle était la nécessité de venir en commando de 15 personnes? Est-ce
un procédé normal?", a lancé Me Vergès, en insistant sur le fait
qu'Ivan était "un excellent élève désireux d'intégrer la société
française" et que ses parents n'étaient pas "des gangsters".
Les avocats réclament qu'Ivan et ses parents puissent rester en France
jusqu'à ce que l'enfant n'ait plus de séquelles de son accident.
Samedi, le ministre de l'Immigration et de l'Identité nationale, Brice
Hortefeux, a accordé aux parents d'Ivan "une autorisation provisoire de
séjour" de six mois.
"Ivan a chuté d'une hauteur de 14 mètres. Dans 6 mois il supportera
encore les séquelles de cette chute. Il faut qu'il reste en France pour
le moins jusqu'à sa guérison complète", a déclaré Me Lec, en ajoutant
que l'Etat devait prendre en charge le séjour de la famille.
Didier Cottrelle, du Réseau Education sans frontière (RESF), qui
participait à un rassemblement d'une vingtaine de personnes devant le
bureau de Me Lec, a réclamé "la régularisation définitive" de la
famille.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:58

UNE JOGGEUSE RETROUVEE MORTE

La victime était partie faire du jogging avec son chien, sur un sentier
très fréquenté de Schweighouse-sur-Moder, au nord de Strasbourg. Une
femme de 49 ans a été retrouvée morte vendredi par un promeneur : son
corps, qui gisait sous les pins, était couvert d'ecchymoses. Sa tenue
de sport a été également été retrouvée non loin de là.

Les gendarmes privilégient dimanche la thèse de l'agression et ont
lancé samedi un appel à témoin auprès des personnes ayant fréquenté le
secteur entre 10h et 16h vendredi. L'autopsie qui doit déterminer les
causes exactes du décès aura lieu lundi. La section de recherche de la
gendarmerie de Strasbourg est chargée de l'enquête.


Citation :
c'est à côté de chez moi ... en moins de 30 minutes ... donne envie, tiens !
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 8:59

TROIS CORPS DE NOUVEAUX NES RETROUVES A ALBERTVILLE

Les policiers ont découvert mercredi à Albertville, en Savoie, les
corps de trois nouveaux nés. Nés en 2001, 2003 et 2006, ils ont été
découverts dans des sacs en plastique dans une malle et dans une
caisse, où était entreposé un sapin de Noël en matière synthétique. La
mère âgée de 36 ans, qui travaillait régulièrement comme intérimaire, a
reconnu qu'il s'agissait de ses enfants, qu'elle avait accouché seule
et que son compagnon n'était pas au courant.

Selon le procureur de la République d'Albertville, Henry-Michel Perret,
"on ignore si cette femme a tué volontairement ses nouveaux-nés ou si
elle les a laissé mourir". "Elle a expliqué qu'elle ne voulait pas
assumer ses grossesses et comme elle ne prenait pas de poids quand elle
était enceinte, ni sa famille ni son compagnon ne se sont aperçus de
rien", a ajouté le procureur.

Au congélateur

Dans un premier temps, les corps des bébés avaient été placés au
congélateur, puis lorsque le père restait seul à la maison et était
susceptible d'ouvrir l'appareil, la mère dissimulait les cadavres dans
d'autres endroits, avant de les recongeler. Elle les a même transportés
lors du déménagement dans un nouveau logement du couple, il y a un an.

Pendant l'absence de sa compagne, l'homme a ouvert une malle entreposée
dans un sous-sol et a découvert les corps en état de décomposition de
deux bébés. On ignore dans quelles conditions le troisième nouveau-né a
été découvert. L'homme a aussitôt alerté la police. Lorsque la femme
est rentrée chez elle, elle a expliqué sans difficulté qu'il s'agissait
bien de ses enfants et qu'elle n'avait pas voulu les garder. L'enquête
a été confiée à la police judiciaire de Lyon. Une information
judiciaire devrait être ouverte d'ici vendredi.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:00

UN GARCON DE 10 ANS CONTRAINT DE BOIRE DE L'URINE PAR 3 ENFANTS

Un garçon de dix ans a été contraint par trois enfants de son âge de
boire de l'urine sous la menace d'un canif, dans un quartier de la
périphérie strasbourgeoise, a-t-on appris samedi de source policière.
Deux frères de dix et huit ans, et une fillette de dix ans avaient
encerclé le gamin et pointé un canif sur sa nuque mercredi soir dans le
quartier de Hautepierre. La victime a été forcée de boire une bouteille
contenant 30 cl d'urine.
Le trio, exprimant peu de repentir, a ensuite été interpellé par la
police et emmené à la brigade des mineurs de la Sûreté où les parents
ont également été convoqués, selon la même source. Le dossier a été
transmis au parquet des mineurs.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:01

EN ALLEMAGNE

Justice : Allemagne : Allemagne: acquittement général dans l'affaire du petit Pascal, violé et étouffé


Allemagne: acquittement général dans l'affaire du petit Pascal, violé et
étouffé

Sat, 8 Sep 2007
SARREBRUCK (AFP) — Le tribunal de grande instance de Sarrebrück (sud-ouest
de l'Allemagne) a acquitté vendredi au bénéfice du doute huit hommes et
quatre femmes accusés d'avoir violé puis étouffé un garçonnet allemand de
cinq ans dans un café en septembre 2001.

Au terme d'un procès-fleuve qui a mobilisé trois ans durant cinq juges et 18
avocats, le tribunal a estimé ne pas disposer de preuves suffisantes pour
affirmer que le petit Pascal avait été violé par plusieurs prévenus, puis
étouffé avec un oreiller dans l'arrière-salle de la "Tosa Klause", boui-boui
d'un quartier interlope de la capitale sarroise.

Le parquet a immédiatement indiqué qu'il ferait appel de ce jugement en se
disant "convaincu" de la culpabilité des prévenus.

"Il est très probable que les faits se sont déroulés comme ils ont été
reconstitués par la police lors de l'instruction", a déclaré le président
Ulrich Chuboda. "Mais en l'absence de cadavre et d'éléments matériels, le
doute doit profiter aux accusés", a poursuivi, le visage fermé, le
magistrat.

A ce jour, le corps de la victime n'a pas été retrouvé malgré d'intenses
recherches, notamment dans le département français limitrophe de la Moselle
où il aurait été jeté dans une gravière.

"Dès lors, le tribunal ne peut que conclure que Pascal a disparu sans
laisser de trace", a poursuivi le président Chuboda, rappelant que le Code
pénal allemand impose au juge de former son opinion en fonction des preuves
qui lui sont rapportées et non à partir de son intime conviction.

Dans son réquisitoire prononcé fin août, le procureur Josef Pattar avait
admis le manque de preuves formelles --sang et/ou traces de sperme-- mais il
avait néanmoins demandé la perpétuité pour cinq des prévenus, dont la
tenancière du bistrot, dans cette sordide affaire de pédophilie.

Les douze accusés ont reçu le jugement dans une totale indifférence, ne
laissant apparaître aucune émotion lorsque leur acquittement a été prononcé.

Âgés de 65 à 39 ans, pour la plupart sans antécédents judiciaires, ils se
connaissent tous, habitués de la "Tosa Klause". Le Land (Etat régional) de
Sarre devra maintenant les indemniser pour leur détention provisoire qui,
pour certains, a duré plusieurs années.

"Cet acquittement constitue un jour noir pour les enfants victimes de
sévices", a estimé l'association berlinoise Kinderhilfe ("Aide aux enfants")
dans un communiqué. "Il faudra en tirer toutes les conséquences, notre
système judiciaire ne prenant pas en compte les droits des enfants, victimes
ou témoins, dans les procès criminels", a poursuivi l'association.

"Ce jugement est à vomir", a renchéri Heiko Maas, l'un des responsables
sarrois du Parti social-démocrate (SPD).

"C'est un fiasco!", a pour sa part laissé tomber un parquetier dans les
couloirs de palais du justice où se pressaient public et journalistes.
"L'Allemagne a désormais son Outreau", a ajouté le chroniqueur judiciaire
d'un journal de Francfort (centre), également scandalisé par le jugement.

En 2005, treize personnes accusées de pédophilie avaient été acquittées par
un tribunal d'Outreau (France) dans un procès qui avait viré au fiasco
judiciaire, contraignant le gouvernement français à réformer sa justice.
Dans le cas d'Outreau cependant, les accusés avaient été innocentés après
avoir été condamnés à tort.

L'un des acquittés de Sarrebrück, Michael C., qui comparaissait pour
meurtre, a estimé "incroyable" que le tribunal puisse encore avoir des
doutes sur son innocence. Selon lui, "il est évident que les policiers ont
exercé des pressions" sur les accusés. "Il faut comprendre ce que nous avons
enduré et ce que nous continuons à subir", a-t-il déclaré à l'AFP.


Samedi 08 Septembre 2007
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:01

QUAND DERRIERE L'HUMANITAIRE SE CACHE LA PEDOPHILIE

Yves Marguerat est jugé pour le viol de deux enfants togolais

Le procès d’Yves Marguerat, un Français qui a vécu plus de 20 ans au
Togo, se déroule cette semaine à Nanterre, en France. L’homme de 64 ans
est accusé d’avoir violé 2 enfants entre 1991 et 1994. Il risque vingt
ans de prison.

QUAND ON LIT LES PROPOS DE CE MONSTRE, CA DONNE ENVIE DE GERBER : Anciens faits divers Nrv Anciens faits divers Nrv Anciens faits divers Nrv

« Je reconnais avoir enfreint la loi en commettant des attouchements
sexuels sur des jeunes, parfois mineurs, avec un nombre (de garçons)
absolument impossible à chiffrer et avec la certitude de n’avoir pas
fait de mal volontairement », a déclaré Yves Marguerat, 64 ans, accusé
du viol de deux enfants togolais entre 1991 et 1994.

Le procès de ce chercheur, agrégé de philosophie, présumé coupable
d’avoir abusé d’enfants des rues de Lomé, s’est ouvert mardi à Nanterre
(Hauts de Seine).

Bien qu’il reconnaisse les attouchements, l’accusé ne semble pas avoir conscience des crimes commis.

A l’écouter, il aurait rendu service à ces jeunes enfants.

Lors du premier jour d’audience, il a reconnu avoir commis des attouchements mais réfute avoir violé ses victimes.

Le chercheur a avoué avoir commis des attouchements sur de nombreux
enfants dans sa maison de Lomé, que l’ancien consul de France, présent
au procès en qualité de témoin, a qualifié de « harem ».

Les propos du présumé violeur sont confus, et il est difficile d’adhérer à sa version des faits.

Questionné sur l’âge de ses victimes par la présidente de la Cour,
Sabine Foulon, M. Marguerat a admis que le plus jeune, René, « avait 11
ans, c’était le seul petit ».

Auparavant, il avait affirmé qu’ « esthétiquement, il aimait les jeunes hommes, les petits non ».

« Ces deux viols, ce n’est que la partie émergée de l’iceberg »

« J’ai cru respecter leur liberté, peut-être je me suis trompé » a déclaré le chercheur.

Selon les deux victimes présumées, c’est la « terreur » plus qu’un
sentiment de liberté qui régnait dans la maison du scientifique.

« Il affirme que les enfants étaient consentants, mais ce qu’il faut
savoir c’est qu’il leur remettait de l’argent et assurait leur survie
en les hébergeant et en les nourrissant.

Certes, il n’a pas usé de violence physique, mais la contrainte morale
était terrible, abominable », a expliqué Maître Picquet, avocat de
l’une des deux victimes, aujourd’hui âgé de 30 ans.

Ce dernier a relaté en détails comment Yves Marguerat l’a violé en
1992, dans son bureau, après lui avoir promis de l’adopter et de
l’envoyer faire des études en France.

Et maître Picquet d’ajouter que « ces deux viols, ce n’est que la
partie émergée de l’iceberg. Sa maison était un véritable capharnaüm,
avec des passages incessants ».

Yves Marguerat, employé pour un organisme public français, l’Orstom de
1978 à 1994, agissait sous couvert d’activités humanitaires qu’il
faisait financer par des associations comme la fondation Raoul
Follereau.

Dès 1982, le chercheur fonde un foyer pour les enfants des rues qui
étaient en « détresse affective », affirme-t-il, et tellement nombreux.


Durant l’instruction, le Français a déclaré que les enfants
l’accompagnaient sous la douche et voulaient dormir avec lui, au point
qu’il leur donnait un tour.

« J’étais une ONG à moi tout seul », a-t-il ajouté.

Une ONG qui venait en « aide » uniquement aux petits garçons, car les
fillettes se prostituaient pour subvenir à leurs besoins et n’avait pas
besoin d’aide, selon ses explications.

Un spécialiste de l’action humanitaire

En parallèle des subventions de la fondation Raoul Follereau, qui se
sont élevés à 209 000 euros entre 1996 et 2002, il avait aussi créé en
France un comité de soutien aux enfants de Lomé à la paroisse de
Châtenay-Malabry (Hauts-de-Seine).

Pas moins de 800 000 euros ont été versés par les paroissiens entre
1982 et 2005, dont la moitié est allée directement dans la poche du
bourreau.

Un comité d’aide et d’information pour le monde des enfants de la rue (Aimer) lui a aussi versé 48 088 euros entre 1994 et 2003.

Marguerat, qui n’a pas fait acte de repentance, est resté très serein durant l’audience.

« Est-ce que l’action humanitaire n’a pas été faite ? », voilà la
réponse que Marguerat a donné mardi lorsque la Cour lui a demandé s’il
n’avait pas l’impression d’avoir abusé des œuvres charitables qui le
subventionnait…

Cette affaire de pédophilie en rappelle une autre. Celle du Père
Lefort, condamné en juin 2005 à huit ans de prison pour avoir violé six
mineurs au Sénégal.

Il y a deux ans, Yves Marguerat, proche du religieux, témoignait en sa
faveur et affirmait que « si l’enfant accepte de l’argent parce qu’il a
faim, ce n’est pas un viol ».
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:03

DISPARITION DE CEDRIKA PROVENCHER

Plus de 50 jours se sont écoulés depuis la disparition de Cédrika
Provencher. Malgré ce fait, le support de la population ainsi que
l'aide qu'elle apporte pour les recherches ne semblent pas vouloir
s'atténuer.
«Nous ne ressentons pas d'essoufflement du côté du public, au
contraire. Sur le terrain, nous remarquons que la population ne fait
preuve d'aucun relâchement et l'aide que nous recevons fuse de toute
part afin de garder la visibilité de Cédrika bien vivante. La présence
de Martin à l'émission Tout le monde en parle a fait doubler et même
tripler les informations que nous recevons. De plus, dans les
courriels, une personne nous a offert un avion pour effectuer nos
déplacements advenant le cas où nous devions vérifier une information
rapidement et sur une grande distance», informe Henri Provencher, le
grand-père de Cédrika. Au moment de notre entretien, une compagnie de
télécopieur appelait afin d'offrir gracieusement un appareil à la
famille.
Un soutien de tous les instants
Selon M. Provencher, six à huit personnes sont présentes jour après
jour dans le local de la famille afin de récolter les différentes
données. «Nous recevons toujours des éléments nouveaux alors ça nous
permet de garder espoir. Nous avons vu le reportage de J.E. qui se
penchait sur les affiches des personnes disparues et les
portraits-robots, mais nous pensons que Cédrika est au-delà de tout ça.
À ce point-ci et depuis le temps que sa photo circule, elle est une
image mentale pour toute la population», insiste-t-il.

Par une foule de petits gestes, l'image de Cédrika sera encore
véhiculée. Des ententes avec la Ligue de hockey junior majeur du Québec
et le Centre Bell sont sur le point d'être conclues. De plus, une
compagnie beauceronne a conçu une affiche montrant Cédrika sous
différents points de vue, avec les cheveux courts ou blonds ou avec des
lunettes.

lien : http://www.lechodemaskinonge.com/article-141459-Les-proches-de-Cedrika-ne-baissent-pas-les-bras.html
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:05

UN PERE ECROUE POUR VIOL ENTRE 1998 ET 2007

" L'homme, un ressortissant finlandais résidant à Paris, aurait violé
sa fille de 1998 à 2007. Il l'a, par ailleurs, enlevée et séquestrée
avec l'aide de son fils et de son frère.

Un père de famille de 45 ans a été mis en examen à Créteil pour viols
et agressions sexuelles sur sa fille de 20 ans, ainsi que pour
enlèvement et séquestration et écroué mardi soir, a-t-on appris,
mercredi 22 août, de source judiciaire.
Le père de famille, un ressortissant finlandais d'origine algérienne et
résidant à Paris, avait enlevé vendredi soir, accompagné de son fils,
également de nationalité finlandaise, et d'un de ses frères, sa fille à
Maisons-Alfort (Val-de-Marne), où elle résidait chez son petit ami.
L'alerte avait été donnée par un témoin. Finalement, la jeune femme
avait été retrouvée samedi vers 18h00, "fortement stressée mais pas
blessée", au domicile de sa grand-mère dans le XVIIIe arrondissement de
Paris, où elle était séquestrée par ses trois ravisseurs.

Violée de 1998 à 2007

Au cours de son audition, la jeune fille a déclaré avoir quitté le
domicile familial parce qu'elle avait été victime de viols de la part
de son père. Les agissements de ce dernier auraient commencé en 1998
quand elle avait 12 ans et auraient duré jusqu'en 2007.
La victime a, par ailleurs, affirmé que son père l'avait emmenée avorter à deux reprises.
Le père de famille a reconnu les faits et a été déféré lundi soir au
parquet de Créteil. Il a été mis en examen mardi pour enlèvement et
séquestration, ainsi que pour viols et agressions sexuelles par
ascendant, pour une partie des faits sur mineure de 15 ans, et placé en
détention provisoire.
Son fils et son frère, mis en examen pour enlèvement et séquestration,
ont été placés sous contrôle judiciaire avec interdiction de rencontrer
la victime.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:05

VIOLS SUR MINEURS DE 15 ANS EN REUNION

ASSISES DE LA CÔTE-D'OR


La cour d'assises de la Côte-d'Or juge jusqu'à demain une affaire de
viols sur mineur de 15 ans en réunion, viols par ascendant et par
personne ayant autorité.

Juste quelques heures passées à cette audience publique et un mot vous
viendra instantanément à l'esprit.Ce mot est « insoutenable ». On y
juge trois individus de 50, 42 et 35 ans que les psychiatres regardent
comme ressortissants d'une zone limite entre normalité et déficience
intellectuelle. Ils se taisent et affichent au public des faciès dont
on ne sait s'ils doivent leur impassibilité à une hébétude chronique ou
à la crainte d'un sort judiciaire pour eux imprévisible.

On les accuse en termes choisis dans le code pénal de viols sur mineur
de 15 ans, viols par ascendant, agressions sexuelles sur mineurs. Si,
en personnes non initiées aux termes juridiques, vous les appelez «
bourreaux d'enfants », vous serez tout autant dans le vrai.
Voudriez-vous en juger ?
Imaginez un petit enfant de 4 ou 5 ans qui, dans sa lettre au père
Noêl, passe commande d'une « baguette magique pour transformer mon papa
en crapaud » Qu'a-t-il donc fait, ce papa-là, pour que son fils formule
pareil souhait ? Pas grand-chose ? Il ne l'a qu'attaché sur une chaise
sans dossier pour le violer chaque week-end. Et sa mère, témoin ou
informée des faits ne l'a même pas secouru.
Huis clos écarté
Son commentaire sur le sujet, ira même jusqu'au « je n'en ai rien à
f...» des adjudants de légende. S'agissant de sa fille, il y va
d'autres raffinements tels que la laver intimement avec une éponge
abrasive avant les traitements que l'on imagine.

Six enfants sont concernés par le comportement de ce couple, imité par
un voisin, aujourd'hui quinquagénaire, qui, lui, faisait fumer et boire
du pastis à des bambins avant d'en user sexuellement. C'est sans doute
pour que le public sache qu'il existe encore des êtres humains si
proches des primates que la justice a écarté le huis clos. Certains
jugent que ce n'est pas là une bonne idée. Admettons que ça se discute.
Bien sûr, on ne fait pas venir à l'audience les enfants concernés. A la
lecture de l'accusation, on s'aperçoit que des enfants nés en 1997 ont
été violentés en 2000, d'autres nés en 1994 en 2002.
Bref, celui qui parlerait de bébés ne serait pas bien loin de la
réalité. On ne les fait pas venir mais, ainsi qu'y autorise maintenant
la Loi, on projette aux jurés le film télévisé de leur interview par
les services spécialisés de la police.

C'est la télé des anges blessés. Imaginez, s'il vous plaît, l'effet
produit. Depuis le matin on parle certes d'enfants au prénom de tout
premier âge. On les imagine utilisés à des fins quasi bestiales mais
leurs petits visages sont laissés à l'imaginaire de chacun. Tout à
coup, ils apparaissent avec un vrai regard, une forme et un langage de
gosses empêtrés dans les mots nécessaires à la descrïption des crimes
de leur père et mère.
On voit un petit garçon mimant la posture de ses tortures, une fillette
devenue presque jeune fille manipulant des lunettes noires dont
l'interviewer a dû avoir bien du mal à lui enlever des yeux. Ce qu'ils
confessent leur donne apparence de victimes alors qu'il n'est pas
impossible qu'ils le vivent en presque-coupables. Oui le non-huis clos
de cette sorte d'audience est sans doute nécessaire dans une société
bien propre sur elle et toute ancrée dans la certitude que les crimes
de cette sorte n'ont existé qu'en temps lointains de brutes primaires
incultes et quasi sauvages. Non, il s'agit d'une audience qui aura lieu
de mercredi à vendredi du 9e mois de la 7e année de notre XXIe siècle.

Celui qui a posé en antichambre de la cour d'appel l'affiche éditée par
une association de protection de l'enfance reste dans l'actualité.
L'affiche proclame « Un enfant n'est JAMAIS un partenaire sexuel ». Les
psychiatres, entendus ce jeudi, nous expliqueront peut-être pourquoi
certains individus ne comprennent pas le bien-fondé de la maxime.



A presque minuit trente, vendredi, la cour et le jury rendaient leur
verdict dans l'affaire des viols sur mineurs par ascendants

Le principal accusé est condamné à 18 ans de réclusion criminelle,
outre suivi sociojudiciaire et privation des droits civiques. L'accusé
- dont nous ne citons pas le nom puisqu'il est le même que celui des
petites victimes - reconnaissait des faits dont la gravité ne peut
échapper à personne à savoir des attouchements et pénétrations sur des
bambins âgés de 20 mois à 7 ou 8 ans. L'individu agissait en attachant
les enfants sur une chaise sans dossier pour abuser d'eux (nos éditions
de jeudi 27 septembre). M. l'avocat général Ezingeard s'était expliqué
sur sa demande d'application du maximum de la peine soit 20 ans de
réclusion criminelle.

« Socialement dangereux »
« Les psychiatres le disent socialement dangereux mais pas au sens
psychiatrique du terme puisque, selon eux, il ne s'agirait pas d'un
pédophile endurci. Je m'interroge alors, notera M. Ezingeard sur ce
qu'est alors un pédophile endurci car, si celui-ci n'en est pas un, il
faut nous donner une définition précise ! » Et d'ajouter : « je
recherche en vain où seraient les circonstances atténuantes pour un
homme alcoolique profond qui se livrait chaque week-end sur son fils et
d'autres enfants à des actes de ce genre, ne manifeste aucun regret ? »
Peut-être le délibéré a-t-il pris en considération le niveau
intellectuel de l'intéressé puisque la peine prononcée sera de 18 ans.

Reste le cas des deux autres accusés qui sont acquittés. Il s'agit de
l'épouse et d'un voisin que l'arrêt de renvoi décrivait, non comme
simples complices, mais comme auteurs directs d'actions sexuelles sur
les enfants. L'épouse, mère des enfants martyrisés, se situe, selon les
experts dans une « zone limite entre normalité et déficience
intellectuelle ». La Cotorep l'a classée invalide à 80 %. Son histoire
est celle d'une fille d'une fratrie de huit enfants, dont le père a été
incarcéré pour faits d'agression sexuelle et sa mère condamnée pour
maltraitances. Elle n'aurait jamais signalé les actes de son conjoint.
L'accusation criminelle porte, en ce qui la concerne, sur des actes
concrets d'agressions, dénoncés par les seuls enfants et non corroborés
par des traces individualisables.
Le voisin, alcoolique avéré, est aussi connu comme recherchant les très
jeunes femmes. Il reconnaît des rapports avec des fillettes de 13 ans.
Il est aussi amateur de cassettes porno. Compagnon de beuverie du père,
il a un jour entraîné le plus jeune pour lui faire boir et fumer. On
l'accuse, à cette occasion, d'en avoir abusé. C'est ce que dit l'enfant
et c'est même ce qu'il aurait avoué à la mère qui se contente de
commenter : « c'est vrai qu'il me l'a avoué, mais il était complètement
saoul et je ne l'ai pas cru. Il n'aurait pas été saoul que je serais
allée à la gendarmerie. »
Il s'agit de personnages loin de l'image de l'innocence classique. La
cour les a pourtant acquittés car elle a considéré que même les êtres
les plus vils ont droit au bénéfice de la Loi pénale qui réclame des
preuves tangibles et accorde le bénéfice du doute aux accusés. Voilà
qui rappelle l'inoubliable aventure d'Outreau. Sa cruauté a suscité une
commission parlementaire, dont le rapport indigné n'a engendré aucune
modification dans le milieu strictement judiciaire qui est même allé
jusqu'à réclamer sa propre absolution. Les jurés peuvent, par un
verdict tel que celui-ci, rappeler qu'ils imposent une prudence sévère,
même lorsque leur seront présentés des « coupables d'environnement
idéal pour éloigner l'indulgence ».
En d'autres termes, les jurys populaires comprendraient-ils plus vite
la leçon d'Outreau que les professionnels de justice ? » La défense, Me
Verrier, avocat du père et Mes Billard et Touraille, avocats des
acquittés ont œuvré pour faire progresser la réflexion.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:06

LE GRAND-PERE ABUSAIT, LA GRAND-MERE REGARDAIT

BRUXELLES Les abus ont duré pendant près de sept ans, entre 1989 et 1996.

Sur les quatre victimes, deux ne pourront pas obtenir satisfaction de la justice, en raison de la prescrïption des faits.
L'affaire éclate en 2002. L'une des victimes est agressée sexuellement
dans le hall de son immeuble. Et c'est à cette occasion qu'elle révèle
les actes odieux subis des années plus tôt, alors qu'elle était enfant
: "Papy m'a violée" . Elle n'avait que 6 ans.

Ses trois soeurs et demi-soeurs ont reconnu qu'elles avaient fait l'objet des mêmes abus.

Mais qui était l'abuseur ?

Leur grand-père. Pendant sept ans, le papy a abusé de ses
petites-filles, chaque fois que l'occasion se présentait. En vacances.
À la campagne. Dans les caravanes. Le plus souvent possible.

La justice bruxelloise enquête et renvoie le pervers devant ses juges.
Mais la grand-mère est aussi poursuivie. Parce qu'elle n'a rien fait
pour protéger les petites, parce qu'elle a fermé les yeux. Et pis
encore, parce qu'elle a assisté aux faits sans venir au secours des
enfants.

Elle était donc poursuivie comme co-auteur, une prévention plus grave que celle de non-assistance à personne en danger.

Dans son jugement, le tribunal correctionnel de Bruxelles a condamné le
papy à une peine de 4 ans de prison et la mamy à une sanction d'un an.

Âgés respectivement de 80 et 76 ans, les deux pervers ont bénéficié
d'un sursis complet. Le psychiatre avait notamment relevé que le
psychisme des prévenus avait tendance à se détériorer. Le tribunal a
donc considéré que l'âge et l'état de santé des prévenus devaient leur
permettre d'éviter la prison.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:07

CONDAMNE A 20 ANS

Un retraité a été condamné à 20 ans pour des actes commis dans les
années 80. Deux des dossiers concernent "des viols par ascendant ou par
personne ayant autorité", puisque l'une de ses victimes présumées n'est
autre que sa propre fille !
Source : France 3

Un retraité de 66 ans, accusé de viols et d'agressions sexuelles, a été
condamné mercredi 3 octobre par la Cour d'Assises de la Nièvre, à 20
ans de réclusion criminelle, assortis d'une peine de sûreté de dix ans.
Il comparaissait pour cinq dossiers : les faits incriminés se sont
déroulés entre 1984 et 1993.


C'est en 2002 qu'une victime de ce pédophile présumé a donné l'alerte à
ses parents et permis l'ouverture d'une information judiciaire qui a
abouti à la comparution, devant les assises de la Nièvre de cet homme,
aujourd'hui âgé de 66 ans, impliqué dans cinq dossiers.

Deux des dossiers concernent "des viols par ascendant ou par personne
ayant autorité", puisque l'une de ses victimes présumées n'est autre
que sa propre fille.

Les trois autres concernent des "agressions sur mineurs de quinze ans".
L'homme profitait notamment des absences de sa femme, nourrice en garde
d'enfants, pour attirer ses victimes dans un cabanon situé au fond du
jardin.
Au cours de l'instruction, d'autres affaires ont été évoquées, mais certaines des victimes n'ont pas souhaité porter plainte.
L'homme, aujourd'hui divorcé, est en détention depuis juin 2005 à la
maison d'arrêt de Nevers. Il avait déja été condamné en 1987 pour des
affaires d'agressions sexuelles.

20 ans de réclusion criminelle


Au terme de 3 jours de procès, la Cour d'Assises de la Nièvre a rendu
son verdict : 20 ans de réclusion criminelle, assortis d'une peine de
sûreté de 10 ans.
L'avocat général, Axel Schneider, avait précisé lors de l'audience, que
si l'accusé ne comparaissait "que" pour deux affaires de viols et trois
agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans, il était impliqué dans une
vingtaine d'autres affaires prescrites depuis. Maitre Schneider avait
requis une peine de 18 ans de prison.
Qualifié par des experts de "pervers dangereux présentant un risque de
récidive malgré son grand âge", l'homme n'avait semble-t-il pas été
victime de sévices sexuels dans son enfance, comme c'est souvent le cas
dans ce genre d'affaire. Pendant les 3 jours de son procès, l'accusé
est apparu aux jurés comme un homme renfermé, recroquevillé dans son
box, "comme s'il ne voulait pas affronter la réalité" selon les avocats
de la partie civile.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:08

LANCER UN BEBE DE 18 MOIS SUR UNE DISTANCE DE 2 OU 3 METRES

Source : TF1, LCI

Trois jeunes de 16,17 et 18 ans viennent d'être interpellés pour s'être
lancé un garçon de 18 mois, sur une distance de deux à trois mètres, et
avoir filmé l'action qu'ils ont ensuite diffusée sur Internet
Cette sordide affaire a pu être révélée grâce au travail des gendarmes
du Département Surveillance Internet de la Gendarmerie nationale, basé
au fort de Rosny sous Bois, en Seine-Saint-Denis (lire encadré).
Forums, tchat, newsgroup, peer-to-peer, tout est bon pour traquer sept
jours sur sept les infractions commises sur la toile. Ces gendarmes
high-tech s'appuient sur des logiciels qui permettent par des mots-clés
de remonter sur des contenus illégaux.
"La violence des images nous a choqué"

"Nous avons eu connaissance début août de cette vidéo en interceptant
des discussions sur un forum, explique à LCI.fr le lieutenant Karine
Béguin, responsable du département. Grâce à cela, nous avons pu
retrouver la vidéo en question. La violence des images nous a choqué.
Le bébé était lancé comme un vulgaire ballon de basket. Cette violence
aurait très bien pu entraîner des séquelles, notamment le syndrôme du
bébé secoué".

Les gendarmes de ce département, ayant le statut d'officiers de police
judiciaire à compétence nationale, une procédure a immédiatement été
initiée. "Nous avons tout d'abord requis le site qui hébergeait la
vidéo pour savoir qui avait mis la vidéo en ligne, détaille le
lieutenant Béguin. Grâce à l'adresse IP, nous avons pu remonter sur un
fournisseur d'accès internet qui, par chance, était français. Ce
dernier nous a alors donné l'adresse complète de l'individu auteur de
la mise en ligne de la vidéo". En deux jours, le dossier était bouclé
et transmis au procureur de Montluçon, lieu de la domiciliation de
l'individu recherché.
Interpellations bouclées en moins de 24 heures

"Vers la mi-août, j'ai été saisi par la cellule de Rosny, confirme à
LCI.fr, Philippe Toccanier, procureur de la République de Montluçon.
Ils m'ont envoyé un dossier papier accompagné d'un CD-Rom avec des
photos de la vidéo permettant de constater l'infraction. J'ai alors
immédiatement saisi les services de police compétents". Le 19
septembre, un jeune homme, mineur, qui avait filmé et mis en ligne la
vidéo, était arrêté. Au bout de 24 heures, ce dernier donnait les noms
de ses deux comparses, auteurs des violences. Un mineur et un majeur,
interpellés le 20. Tous seront convoqués par la justice. Le mineur
poursuivi pour la diffusion d'enregistrement d'images montrant des
violences encourt 2 ans et demi de prison. Les auteurs des violences
encourent 3 ans pour le majeur, la moitié pour le mineur.

500 à 800 procédures par an

Le département Surveillance Internet de la Gendarmerie nationale a été
créé en 1998. Il s'agit d'une des branches du STRJD, Service technique
de recherches judiciares et de documentation, basé à Rosny-sous-bois.
Vingt personnes scrutent la toile 7 jours sur 7, à la recherche des
différentes infractions régies par le code pénal. Tous sont réunis sur
un plateau central, avec d'un côté les gendarmes spécialisés dans la
traque des sites pédopornographiques, de l'autre ceux qui surveillent
tout le reste. Ce département lance entre 500 et 800 procédures par an.
Plus de 80% sont suivies en justice.
Les affaires de pédo-pornographies arrivent largement en tête des
infractions qu'ils décèlent devant les stup', la contrefaçon, le
proxénétisme ou la haine raciale. "Démonter un réseau de pédophilie
peut parfois immobiliser plusieurs de nos gendarmes pendant un à deux
mois, mais quand ce réseau tombe, c'est très gratifiant car il en va du
bien-être de notre société", explique le lieutenant Béguin. Sur le
terrain, ces gendarmes sont épaulés par près de 200 gendarmes
spécialisés dans les nouvelles technologies et qui sont ponctuellement
amenés à surveiller le web.
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MessageSujet: Re: Anciens faits divers   Anciens faits divers EmptyDim 20 Avr 2008 - 9:08

NOYE DANS SON BAIN A 8 ANS

Source = DH net article de F.D.

Accident ou maltraitance ? Une instruction est ouverte et une reconstitution a été effectuée

CHÂTELINEAU Un véritable drame s'est joué mardi soir, derrière les murs
du n° 127 de la rue du Sart Allet, à Châtelineau, où Geoffrey, un petit
garçon de 8 ans plein de vie, s'est noyé dans son bain.

À l'heure d'écrire ces lignes, il semblait toutefois devoir sortir du coma artificiel dans lequel les médecins l'avaient plongé.

Le mystère plane encore sur le déroulement des faits. Dès son retour de
l'école, son père l'aurait envoyé prendre un bain. D'après ce dernier
et sa compagne, le silence aurait fini par les inquiéter, tant Geoffrey
était habitué à patauger bruyamment dans la baignoire. La belle-mère du
petit se serait alors rendue dans la salle de bains, trouvant le corps
du garçonnet déjà bleu et flottant dans les quelques centimètres d'eau.

Le témoignage de Geoffrey pourrait être déterminant

Avertis des faits, les secours se sont rendus immédiatement sur place.
Après de longs massages cardiaques, l'enfant a pu être récupéré et
transporté au CHU de Charleroi. Mais les médecins ont constaté divers
éléments troublants. Geoffrey présentait en effet des hématomes, mais
également des brûlures au thorax sans doute dues à de l'eau bouillante.
Le médecin légiste a donc été appelé et une instruction a été ouverte.

Hier, vers 15 h, le père et la belle-mère de Geoffrey ont été privés de
liberté à l'hôpital et ramenés à la rue du Sart Allet pour une
reconstitution, ordonnée par la juge d'instruction Martine Michel. Le
devoir d'enquête aura duré plus de trois heures. Mais rien n'a filtré
des murs de cette maison de rangée, devant laquelle était stationnée
une vieille caravane. On sait que Geoffrey a été surpris à voler trois
euros à l'école. Cela lui a-t-il valu une sévère correction ?

Hier soir, aucune inculpation n'avait encore été décernée. Mais la
police locale de Châtelet devait poursuivre les interrogatoires des
parents, privés de liberté durant 24 heures. Au CHU, Geoffrey semblait
devoir gagner son combat contre la mort. Son réveil pourrait être
déterminant pour l'enquête.
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