L'ermite de Roquebrune vivait caché avec sa mère depuis 35 ans
Le Figaro, le 10/07/2008
Un homme semble avoir vécu reclus au domicile familial. Ce sont des policiers venus constater la mort de sa mère qui l'ont trouvé.
Âgé de cinquante ans et arborant une chevelure longue de plus de trois mètres, l'ermite de Roquebrune-Cap-Martin (Alpes-Maritimes) vivait au premier étage d'un joli pavillon dont il ne sortait manifestement que pour prendre l'air dans le jardin, le plus souvent au beau milieu de la nuit.
... Vêtu d'un simple caleçon, très amaigri, d'une pâleur extrême et pourvu d'une crinière impressionnante, Michel Pagès, malgré des difficultés à s'exprimer, a spontanément indiqué avoir vécu enfermé à l'étage de sa maison durant plus de trois décennies, avec l'accord de sa mère. «Aux policiers de la brigade de sûreté urbaine, il a simplement expliqué avoir fait ce choix à l'âge de 14 ans, par volonté de se couper du monde et de vivre selon un esprit hippie, glisse une source proche de l'enquête. Il aurait ensuite décidé de ne plus se couper les cheveux, après que ses parents l'ont forcé à aller chez le coiffeur.»
Admis aux urgences psychiatriques...
«Dans le quartier, tout le monde savait que ce garçon avait fait le choix de vivre reclus au premier étage de sa maison et beaucoup trouvaient que sa mère menait une existence peu soignée, stockant ses poubelles dans un jardin qui n'était apparemment pas entretenu, raconte-t-elle. En douze ans passés ici, je n'ai d'ailleurs vu ce garçon qu'une seule fois, au printemps 2006, et je me rappelle avoir été frappée par son état pitoyable. Il passait furtivement dans le jardin, vêtu de loques, avait les cheveux qui descendaient jusqu'au sol. À l'époque, je me souviens même avoir prévenu les services sociaux de la mairie, qui n'ont rien fait.»
Une Marocaine en burqa se voit refuser la nationalité française
LE MONDE | 11.07.08
La commissaire du gouvernement (chargée de donner un avis juridique), Emmanuelle Prada-Bordenave, a insisté sur les entretiens qu'a eus le couple avec les services sociaux et la police. A trois reprises, Faiza M. se serait présentée "recouverte du vêtement des femmes de la péninsule arabique, longue robe tombant jusqu'aux pieds, voile masquant les cheveux, le front et le menton et une pièce de tissu masquant le visage et ne laissant voir les yeux que par une fente
faut savoir si elle veut la nationalité française ou pas
qu'elle garde son voile je l'admets mais le voile sur le visage et la robe c'est abusé
mes 2 nièces sont marocaines praticantes et mes neveux se sont convertis a l'islam c'est leur choix mais elles ne se promènent pas avec le voile.
le mariage a été fait dans la pure tradition et j'avoue que c'était magnifique