UN GAMIN DE PARISDes "bien-pensants" jugeront cette mesure injuste. Parlons-en le mois
prochain si quelqu'un s'en rappelle de celui qui va sortir (il devait
sortir aujourd'hui et sa sortie a été différée de 30 jours) : prêt à
recommencer. Toute la justice, tous les médecins psy, tous les
politiques le savent aujourd'hui et tous les français l'ont lu ou
entendu. Dans un mois, tout le monde aura oublié comme souvent mais
dans une trentaine de jour, une monstruosité irrécupérable va être
remise en circulation (il a peut-être bénéficié de remise de peine pour
bonne conduite : il est patent qu'en prison sa perversité pouvait être
mise à l'épreuve). Face à la sortie imminente d'un pervers futur
multirécidiviste autoproclamé et grâce à la complicité bienveillante de
nos institutions judiciaires, un assassin pourra encore commettre
quelques crimes et bénéficier d'une assistance juridictionnelle à la
charge du contribuable pour défendre ses tendances malsaines tout en
l'exonérant de ses crimes au nom d'une soit disant "réinsertion".
Après ses baveux vont prétexter "une enfance malheureuse" et tatati et tatatère........
Qu'on arrête, car heureusement quelques unes ou quelques uns d'entre
nous ont subit des brimades dans leurs enfances qu'ils n'ont pas
reproduit.
Je sais et j'en parle en connaissance de cause : nous avons été
fouettés debout sur un tabouret par une laisse de chien torsadée
(laisse de berger allemand), nous avons eu régulièrement la punition
d'être mis à genoux dans les escaliers avec une règle carrée et les
mains sur la tête pendant des heures, j'ai subi des humiliations comme
le jour où mon nounours adoré a été jeté au feu pour que j'adopte le
nouvel ours qu'on m'avait fourgué à Noël. J'ai appris que ma grand-mère
que je chérissais et qui me le rendait bien n'était pas ma vraie
grand-mère. J'ai souhaité régulièrement la mort de notre tortionnaire
et mon vœux a été exaucé quelque temps plus tard : n'empêche que, ni
mes 3 frères, ni moi n'avons reproduit sur nos enfants les supplices
que nous avons subi nous, enfants : j'avais même reçu à cette époque un
coup de couteau.
Il est vrai que notre tortionnaire était "le mari de la sœur de notre
mère". Et nos parents trop occupés à nous assurer un confort en
travaillant d’arrache-pied ne s’étaient pas aperçu quand nous faisant
garder par une tante immature (elle n’a que 10 ans de plus que moi) et
d’un gigolo de pacotille, ils nous laissaient aux mains de fous
dangereux.
Malgré nos brimades infantiles, nous n’avons jamais reproduit celles-ci sur nos enfants.
Donc je n'ai et n’aurais jamais de compassion pour ce genre d'individu.
Tout comme je n’en aurais jamais pour ces mères infanticides
congeleuses. (
modéré par Patricia contente que tu sois de nouveau la
) pour elles : la bascule à charlot